Paris le 19/09/2024
Alors que la coriandre est d'ordinaire cultivée en bio sur 2 ou 3 hectares dans une rotation avec d'autres plantes aromatiques et médicinales, on a observé en 2024 une multiplication par 5 des surfaces semées en Nouvelle Aquitaine et par 7 celles semées en Occitanie. L'Occitanie est la première région concernée par les détournements avec désormais 11 800 hectares de coriandre bio, soit 80% des surfaces françaises. L'analyse des fermes ayant demandé l'aide dans cette région montre bien qu'il s'agit majoritairement d'une démarche opportuniste d'agriculteurs conventionnels et non d'une démarche de transition vers la bio réelle et durable. (…)
Paris, le 03/09/2024
Au cours d'une année difficile pour les conversions en Agriculture Biologique, la FNAB s'oppose fermement à un mouvement de contournement des aides publiques de la PAC, au moyen de la déclaration de surface en production de coriandre bio (…)
Paris le 10/09/2024
En 2019, alors que les agriculteurs bio attendaient pour certains leurs aides depuis plus de deux ans, la FNAB a voulu faire reconnaître la faute de l'Etat par la justice. C'est chose faite. Après cinq années de procès, les décisions des cours administratives d'appel de Lyon, Bordeaux et Nantes, qui reconnaissent que l'Etat aurait dû payer les aides bio dans un délai d'un an maximum, sont désormais définitives. L'Etat n'a en effet pas fait appel de ces décisions et indemnisera donc les agriculteurs bio qui sont allés devant la justice. (…)
Paris, le 11/07/2024
Aujourd'hui, jeudi 11 juillet 2024, le CNAB a donné un nouveau délai aux serres chauffées bio - jusqu'à 2030 - pour passer des énergies fossiles aux énergies renouvelables. Rappelons que ce délai ne concerne que les anciennes serres chauffées certifiées bio avant le 01/01/2020. Pour toutes les nouvelles serres chauffées, l'obligation de recourir aux énergies renouvelables est déjà en vigueur depuis 5 ans. Selon nos estimations, ce report ne concerne qu'une trentaine de producteurs au regard des 14 000 producteurs de légumes bio en France (dont une large majorité de maraîchers) qui n'ont pas recours au chauffage de leurs serres.
Paris, le 21/06/2024. D'ici 10 jours, les françaises et les français vont devoir élire une nouvelle
assemblée nationale. Outre les promesses politiques qu'on retrouve dans les programmes, la
FNAB a décidé, pour éclairer le citoyen concernant la transition agro-écologique, d'analyser les
déclarations des membres des partis ainsi que leurs comportements de vote sur ces derniers
mois, tant au niveau national qu'au niveau européen.
« Ce travail fait non seulement ressortir le décalage qu'il peut y avoir entre les promesses et les actes mais il montre aussi que nous, producteurs et productrices bio, risquons beaucoup avec ces élections » déclare Philippe Camburet, président de la FNAB.
Paris, 12/06/2024. A la suite d'un contexte électoral marqué par un rejet massif de la construction européenne, les agricultrices et agriculteurs bio du réseau FNAB rappellent que l'histoire de l'agriculture et celle de l'agriculture biologique est intrinsèquement liée à l'Europe.
👉 L'occasion d'échanger avec les 90 acteurs du réseau bio présents sur l'état des lieux de l'agriculture biologique dans la région, mais aussi sur la thématique « Alimentation, santé et pesticides», au cœur d'une conférence organisée l'après-midi 🎙
Merci à nos équipes, à nos membres et partenaires ainsi qu'à notre intervenant Jean-Francois Deleume, médecin et membre d'Alerte Médecins Pesticides 👏
Paris, le 08/02/2024. Hier, le Parlement européen réuni en plénière à Strasbourg a adopté à une large majorité un texte détricotant la réglementation des OGM issus des Nouvelles Techniques de modification du Génome (NTG). Ce texte qui nie le principe de précaution est un recul par rapport à la réglementation actuelle. (…)
Paris, le 07/02/2024. Des agriculteurs et agricultrices bio de toute la France se rassemblent aujourd'hui dans la journée à Paris. Soutenus par des organisations environnementales, des syndicats, des associations de bien-être animal, ils et elles viennent à la rencontre des parlementaires pour leur exprimer leur incompréhension face aux reculs environnementaux et demander un réel soutien aux filières bio, fers de lance de la transition agricole française. (…)
Paris, le 30/01/2024. Depuis la hausse des prix, les labels de qualité sont les premiers à pâtir
des arbitrages financiers des ménages sur l'alimentation. La Bio en a lourdement fait les frais
ces deux dernières années, le marché s'est rétracté, les prix payés aux producteurs bio ont
chuté et leur revenu avec. En 2023, seulement 4 000 fermes biologiques ont pu être
soutenues sur les 60 000 fermes bio françaises, en raison d'une enveloppe financière
mobilisée insuffisante par rapport à l'ampleur de la crise. (…)
Paris, le 26/01/2024. Sur le terrain la colère agricole se maintient. Les inquiétudes sur le revenu et le partage de la valeur nous réunissent. Et pour cause, les démarches de qualité sont parmi les plus impactées par l'inflation et la baisse du pouvoir d'achat. Depuis deux ans les consommateurs se détournent des produits qui promettent la transition environnementale, dont la Bio fait partie. De même, la nouvelle PAC a in fine abouti à une baisse de plus de 50% de la rémunération environnementale des agriculteurs bio. Que ce soit par manque d'argent ou par manque de compréhension, le modèle de transition agricole souhaité par la société n'est pas financé.
Paris, le 24/01/2024. La colère qui monte ces derniers jours dans le monde rural est le symptôme d'un malaise profond de la profession agricole. Quel que soit le modèle de production choisi aujourd'hui, intensif ou vertueux, le revenu des agriculteurs continue de se dégrader. Et l'agriculture biologique n'échappe pas à cette situation. Perte de l'aide au maintien en 2017, baisse des aides environnementales avec la nouvelle PAC, écroulement des prix payés aux producteurs par le marché depuis deux ans. La situation sur le terrain devient intenable et elle risque d'entraîner un recul du modèle biologique. La FNAB appelle à une revalorisation urgente du revenu agricole biologique, à la hauteur des services rendus.
(…)
Paris, le 20/12/2023.
Le Ministre de l'Agriculture a présenté hier son nouveau plan d'action pour lutter contre la Peste Porcine Africaine. La FNAB salue les avancées proposées pour le plein air, particulièrement sensible à la contamination par les sangliers, mais juge que trop de pression repose encore sur ce mode de production et que l'accompagnement prévu n'est toujours pas à la hauteur. Alors que 50% des truies bio sont élevées en plein air et que la filière porc bio connaît déjà une crise sans précédent ayant entraîné un recul de la production, la FNAB considère que ce plan n'apporte pas les garanties suffisantes.
(…)
Paris, le 13/12/2023.
Alors que le projet de loi de finances est en cours d'examen au Sénat, la possibilité d'un abandon des hausses de redevances initialement prévues sur les pollutions diffuses et l'irrigation semble sur la table des négociations. Ce revirement, s'il devait être confirmé par le gouvernement, génèrera un manque à gagner de près de 50 millions d'euros par an pour les Agences de l'eau qui ont pour seule mission la préservation de l'eau que nous consommons.
(…)
Paris le 14/11/2023 -
Le 14 novembre 2023 est un jour de manifestation en faveur de la transition agroécologique dans la Politique Agricole Commune. Alors que le projet de loi de finance est actuellement en négociation au parlement, la FNAB s'associe à cette mobilisation pour demander aux parlementaires et aux membres du gouvernement de soutenir massivement l'agriculture biologique, qui est le fer de lance de l'agroécologie française.
Soutenir la bio dans la durée pour faire la transition agricole
« En France, le meilleur moyen pour faire la transition agroécologique, c'est la bio. Sauf que la PAC ne soutient pas correctement les services écosystémiques rendus par les fermes bio. Avec la baisse de l'écorégime bio, le Ministère de l'Agriculture fait fausse route. On s'éloigne des solutions, alors même que l'urgence climatique est de plus en plus pressante. » rappelle Loïc Madeline, secrétaire national Aides à la FNAB qui sera sur place.
La FNAB enjoint le gouvernement de revaloriser les aides PAC en faveur de la bio :
Paris, le 20/09/2023. L'Agence Bio a publié aujourd'hui son premier baromètre du moral des agriculteur·rices bio qui montre que malgré la crise les agriculteurs et agricultrices engagé·es en Bio sont fier·es et heureux·ses d'avoir choisi ce mode de production. De même, s'ils sont confiant·es que la situation de la bio s'améliorera à termes, ils évoquent le besoin d'une intervention des pouvoirs publics pour aider la filière à passer le cap. Il est temps que le gouvernement prenne la mesure de la situation et que des moyens significatifs soient enfin débloqués.
Paris, le 19/09/2023. Si la Bio traverse une crise de marché depuis deux ans, elle n'en reste pourtant pas moins le seul modèle agricole qui permet de concilier souveraineté, rendements et durabilité. Pour remettre la France sur les rails des objectifs européens qu'elle s'est fixée, 18% de surfaces bio en 2027 et 21% en 2030 , la planification écologique se doit de mettre le développement de la Bio au cœur de sa stratégie dès 2024 avec une politique publique qui repose sur ses deux jambes : le soutien à l'offre et le soutien à la demande. Des annonces sont attendues sur le salon Tech et Bio cette semaine !
Depuis le 1er juillet 2023, les associations Interbio Franche-Comté et BIO BOURGOGNE ne font plus qu'une : BIO Bourgogne-Franche-Comté.
« HVE » ou « bio » ? Hugo Clément révèle la guerre des labels dans « Sur le front »
« Haute valeur environnementale » : que cache ce label avec un joli papillon ? Protège-t-il vraiment les insectes ? Pourquoi fleurit-il dans les rayons de nos supermarchés, alors qu'en ce moment les ventes de bio s'effondrent ? Hugo Clément a remonté les filières et découvert des modes de production surréalistes, bien loin de l'image bucolique du logo. Une enquête à suivre lundi 3 juillet à 21.00 sur France 5.
L'association Générations Futures a comparé les pesticides homologués en conventionnel et en bio sur la base de leur toxicité intrinsèque et des quantités vendues. Résultats : « il n'y a pas photo ».
Retrouvez l'infographie ici.
Principales conclusions :
Retrouvez une autre infographie de l'agence bio ici.
Pas envie d'être pris au dépourvu concernant l'agriculture bio ?
Ce livret est fait pour vous !
La nouvelle version mise à jour contient 20 bonnes raisons de devenir bio consom'acteur. Découvrez des éléments de réponses aux questions que l'on se pose souvent sur la bio : « Comment sont contrôlés les produits bio ? », « Manger bio, est-ce toujours bon pour l'environnement » ou encore « Faut-il préférer bio ou local ? »
Le ministère de la transition écologique vient de publier un guide sécheresse. Celui-ci explique en détail le fonctionnement du dispositif de gestion de la sécheresse en France, notamment les arrêtés préfectoraux, leur construction et leurs impacts.
A noter : plusieurs GAB et GRAB ont sollicité des dérogations ou modifications des arrêtés cadre en 2022, en prévision ou durant la sécheresse concernant certaines productions biologiques (maraîchage et arboriculture notamment). Comprendre les instances de gestion des arrêtés (les commissions départementales de la ressource en eau) et les investir peut donc servir directement l'accès à l'eau des fermes du réseau.
Produire Bio et ses lettres filières rassemblent les ressources techniques et réglementaires du réseau FNAB à destination des producteurs. C'est une façon de réunir au même endroit un maximum d'informations utiles aux agriculteurs et agricultrices bio ou bio en devenir. Du travail est mené partout dans le réseau pour accompagner les producteur·rices dans leurs pratiques, il est donc important de disposer d'une ressource qui puisse centraliser au maximum les ressources mises à disposition par le réseau FNAB !
Pour une information ciblée par filière, abonnez-vous à nos lettres filières !
Le déploiement de CartoBio auprès des agriculteur·rices débute prochainement !
Cartobio permet une transmission sécurisée de votre parcellaire bio avec votre Organisme de Certification et l'administration. Cartobio est un outil cartographique gratuit. Vous y importez votre parcellaire à jour (par un fichier TéléPac notamment) et le contrôleur le complète pendant l'audit en vue de la certification.
Cet outil remplace le document listant votre parcellaire. Il évite le travail de recopie pendant l'audit. À terme, CartoBio remplacera l'attestation de production végétale à joindre à la déclaration PAC. Les données renseignées sur CartoBio seront alors utilisées pour l'instruction des aides. Le déploiement de CartoBio débute au second trimestre au sein des organismes de certification.
D'ici 2024, l'ensemble des contrôles en agriculture biologique se feront avec Cartobio ou un outil similaire suivant votre organisme certificateur.
Plus d'informations sur le projet sur le site de CartoBio (https://cartobio.agencebio.org/projet)
Pionnier de la bio, Alain Guillot s'est éteint samedi 22 avril dernier. La FNAB et son réseau rendent hommage à l'engagement de cet homme qui a oeuvré toute sa vie au développement de l'agriculture biologique, à la structuration et à la reconnaissance d'un réseau agricole dédié à ce mode de production qui contribue à la défense des paysan·nes et de leurs convictions environnementales et sociétales.
Lire notre CP 👉 https://bit.ly/41N7g5W
Paris, le 1er juin 2023.
Ce matin se tenait la conférence de presse de l'Agence Bio à l'occasion de laquelle les chiffres de la conversion bio ont été dévoilés, bien en deçà de ceux prévus dans la feuille de route du Ministère de l'Agriculture. En effet, avec seulement 75 000 hectares agricoles de plus sous label AB en 2022, on assiste à un ralentissement historique de la dynamique de conversion. Le gouvernement et tous les acteurs actifs dans le développement de l'agriculture biologique doivent réagir en urgence pour ne pas assister les bras croisés à l'enterrement de la transition agro-écologique de la France. (...)
Paris, 17/05/2023
Les annonces de Marc Fesneau en soutien à l'agriculture biologique sont accueillies positivement par nos structures. Cependant, les montants annoncés sont en-deça des besoins chiffrés depuis un an. Nous attendons donc le troisième volet du plan de soutien à la Bio, que nous espérons plus structurel. Nous nous tenons à la disposition du Ministère pour y travailler.
(...)
"Un secteur d'avenir se pilote autant par l'offre que par la demande. C'est l'enseignement d'airain que tire le secteur bio de 2022, après quatre décennies d'efforts (couronnées de succès) pour répondre à la demande des Français en bio made in France.
Si nous voulons atteindre notre objectif national de 18 % de bio dans les champs, il faut le retrouver dans les assiettes. Transition alimentaire et transition agroécologique vont de pair.
Après une première baisse de marché en 2021 à - 1,3 %, la première réponse, coordonnée, fut celle de la campagne « pour nous, pour la planète #bioreflexe » qui a montré son efficacité tant pédagogique que commerciale, partout où elle a été déployée. Cette campagne est le maillot de l'équipe de France du bio, qui prouve que la bio est l'affaire de tous. Face au ralentissement, la réponse doit être collective, aux côtés des pouvoirs publics."
Loic Guines
Les enseignements principaux :
Le jeudi 11 mai 2023 s'est tenue à l'amphithéâtre du site de l'EPL des Terres de l'Yonne la restitution du « Défi Transmission » organisé par BIO BOURGOGNE avec les apprenants du BPREA, et avec le soutien d'Eau de Paris et de la Communauté d'agglomération de l'auxerrois. L'objectif de l'exercice pour les apprenants était de pouvoir établir une carte d'identité de la ferme visitée en mars dernier et des scénarios de reprise de l'exploitation dans le cadre hypothétique d'une transmission, afin d'inviter les apprenants à se projeter dans une situation de reprise viable et concrète.
Ce 11 mai, les deux groupes d'apprenants du BPREA ont donc présenté leurs travaux. Cette restitution a laissé une large place aux échanges avec l'agriculteur, les partenaires - Eau de Paris, la Communauté d'agglomération de l'auxerrois, le Directeur du CFPPA, la Chambre d'agriculture de l'Yonne, le Groupement des AgroBiologistes de l'Yonne (GABY) et l'association Semeurs du possible - les formatrices et les étudiants du BTS ACSE présents, à la fois sur les projets de reprise exposés, la transmission en agriculture, mais aussi sur les projets individuels de chaque futur porteur de projets, qu'ils soient en BTS ou BPREA.
Les rencontres et échanges facilités par cet exercice ont été salués, tout comme son aspect concret et sa pertinence en rapport avec la préparation des futurs installés vis-à-vis de leur propre projet.
Mathilde Abrahamse, étudiante ingénieure agronome à BGS, réalise un état des lieux des demandes d'achats des femelles de race Brune et Jersiaise.
Pour répondre au questionnaire ça se passe ici !
Les Echos des Prairies Bio sont sortis !
Le deuxième bulletin technique élevage de 2023 est sorti, et sera envoyé aux adhérents du réseau bio qui y ont souscrit.
Au sommaire :
Contactez votre animateur/trice de GAB pour en bénéficier !
📣 Productrices et producteurs bio ? L'Agriculture Biologique lance la première enquête nationale pour connaitre la vision du monde agricole bio sur la crise en cours !
Parce que beaucoup d'encre a coulé ces derniers temps sur la crise du bio, qu'en pensent les premiers concernés, les 60 000 agricultrices et agriculteurs bio ?
Vous vous engagez chaque jour pour nous et pour la planète, à nous de vous donner la parole !
➡️ Nous lançons ce jour, notre premier baromètre du moral des producteurs et productrices bio avec un questionnaire de 20 minutes à remplir.
Nous avons besoin de vous ! Cette enquête est la vôtre, relayez-la le plus largement possible dans vos réseaux pour que nous ayons le maximum de répondants !
Vérifiez bien vos mails et spams et/ou n'hésitez pas à vous adresser à 👉 enquete@agencebio.org pour plus d'informations.
Rendez-vous sur Salon Tech & Bio le 21 septembre pour la présentation des résultats en exclusivité !
📢 Le Printemps bio fait son comeback pour la 24ème édition du 22 mai au 21 Juin 2023 !
Que vous soyez :
🚜 Agriculteurs
👩🌾 Producteurs
🥗 Transformateurs
🛒 Distributeurs
Venez faire rayonner l'agriculture biologique, promouvoir l'agriculture de proximité et faire comprendre pourquoi il est important de produire et consommer bio et local.
Pour inscrire vos animations suivez ce lien, on vous explique tout 👉 https://openagenda.com/printemps-bio
Dans les décennies qui viennent, l'agriculture va devoir faire face à un double défi : nourrir une population grandissante tout en protégeant l'environnement. La bio est à même d'apporter des réponses aux multiples enjeux auxquels nous devons faire face.
Si sa généralisation est souhaitable, comment est-elle techniquement faisable ?
Rediffusion à venir !
Pour plus d'infos : https://www.fnab.org/la-bio-peut-elle-nourrir-le-monde/
La FNAB lance son podcast "Cultiver l'avenir" 🎧 avec une première série intitulée
"S'adapter au changement climatique", constituée de 4 épisodes.
Le changement climatique impacte fortement le secteur agricole. L'agriculture biologique doit aussi adapter ses pratiques au changement climatique. S'adapter c'est anticiper, et anticiper c'est apprendre à réfléchir à des solutions pérennes sur le long-terme, à investir du temps pour en gagner plus tard. La série de podcast S'adapter au changement climatique part à la rencontre de plusieurs agriculteurs et agricultrices biologiques en France pour comprendre leurs réflexions sur l'adaptation de leurs pratiques face au changement climatique.
Un podcast de la FNAB, réalisé grâce au soutien du Ministère de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires ; prise de son, réalisation et mixage : Octave Broutard.
Pour écouter & partager :
Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=x8LwKXsXm7Q&list=PLu8zThP-Y3ydoK9CKGvXMtnAokV5YJaOD
Spotify : https://open.spotify.com/show/3vItnlWSnwdY78iTZrDjCs
Le climat change, les agriculteurs et agricultrices bio s'adaptent.
La GAEC Les Jonquilles (Vendée) travaille sur le taux de matière organique des sols pour favoriser la résilience des productions végétales.
Découvrez les réflexions de Julien, Jean-Luc & Denis dans le recueil de témoignages FNAB 👉 https://bit.ly/3idlz2d
FranceAgriMer a ouvert, lundi 6 mars 2023, un nouveau guichet visant à financer des matériels innovants.
Ce guichet s'inscrit dans la mesure « équipements pour la troisième révolution agricole » du Plan France 2030 et vise à amplifier et accélérer le déploiement des équipements innovants permettant l'optimisation de la ressource en eau, la préservation des sols, de l'eau et de l'air ; l'adaptation au changement climatique et aux risques sanitaires émergents ; la réduction de la consommation énergétique, la production d'énergie renouvelable.
Ce guichet, doté d'un budget de 40 M€, prévoit un taux d'aide de 20, 30 ou 40% selon l'équipement sélectionné. Ce taux est majoré de 10 points pour les nouveaux installés, les jeunes agriculteurs et les CUMA. Le taux d'aide est porté à 75% en Outre-mer.
Le plafond de dépenses éligibles est fixé par demande à 200.000€ HT (500 000 € HT pour les CUMA).
Les conditions de gestion du dispositif, notamment la liste des matériels susceptibles d'être financés, sont disponibles ICI
Vous trouverez les conditions détaillées et la liste du matériel éligible ICI
Foire aux questions ICI
On le voit, malgré de nombreux atouts dans un rapport à l'alimentation en évolution, le bio souffre. Sa massification et par là-même sa banalisation est l'une des clés d'explication. Mais aussi sa connaissance donc sa compréhension dans un univers où les messages et labels se sont multipliés, autour du local, du bien-être animal ou de la juste rémunération des producteurs...
Le bio, label qui traite à la fois du sujet environnemental, santé et social, est aussi touché par la crise de défiance qui affecte plus largement la société : défiance envers les labels de qualité publics et privés, doutes sur les méthodes de production.
Le bio pâtit certes d'une image fragilisée mais pourrait ne pas avoir dit son dernier mot, à condition de se faire entendre au milieu des promesses et labels privés toujours plus fragmentés
--> Retrouvez la synthèse complète ici
Existe-t-il une stratégie robuste pour la transition vers une agriculture sans pesticides chimiques à l'horizon 2050 ?
La transition vers une agriculture sans pesticides chimiques nécessite une multitude d'initiatives et de transformations de la part de différents acteurs, à des échelles variées.
Toutefois, à la lumière de l'analyse des trajectoires construites pour chacun des trois scénarios européens, on peut dégager quelques éléments robustes d'une transition, consistant en étapes et en actions communes, notamment par le biais de politiques publiques, d'évolutions des chaînes de valeur, d'éducation et de systèmes de connaissance et d'innovation en agriculture.
Synthèse complète à retrouver ici
Paris, le 28/02/2023.
Une semaine après le rendez-vous des représentants des filières bio et des interprofessions avec le cabinet du Ministre de l'agriculture, les seules annonces ont été faites en catimini et sont loin de répondre aux attentes : 10 millions d'euros, soit 166 € par ferme (environ 58000 fermes). Les agriculteurs et agricultrices bio, représentés par la FNAB et la Confédération paysanne, les transformateurs bio et les entreprises de la bio enterrent symboliquement le stand de l'Agence bio au Salon de l'Agriculture. Ils alertent sur le mépris dont font preuve les pouvoirs publics face aux difficultés de la bio. (…)
La partie en ferme des formation "Devenir référent en élevage de Porcs" a eu lieu dans 3 départements. Cette partie consistait à réaliser un diagnostic du bien-être basé sur l'observation des différentes catégories d'animaux et les moyens d'hébergement et d'enrichissement du milieu.
Les échanges entre éleveurs ont permis de proposer des améliorations tout en respectant les objectifs et les contraintes de l'éleveur accueillant la formation.
Ces formations se poursuivent en mars pour les élevages de volailes, 6 sessions sont prévues sur toute la région.
Paris, le 23/02/2023. Mardi soir, à quelques jours de l'ouverture du salon de l'agriculture, le cabinet du Ministre Marc Fesneau recevait les filières biologiques au grand complet. Cette réunion, que le Ministre n'a pas daigné honorer de sa présence, est le point d'orgue d'un an de discussions sur le soutien que l'Etat devrait apporter aux filières biologiques pour qu'elles surmontent la période de contraction du marché débutée en 2021. La conclusion est limpide et malheureuse : malgré l'objectif de presque doubler les surfaces bio en 5 ans, le soutien gouvernemental tant espéré ne vient pas. (…)
Au programme :
Inscrivez-vous dès à présent via ce formulaire (faites vite si vous souhaitez vous inscrire pour un bon repas bio le midi : c'est ici).
Avec BIO BOURGOGNE et Interbio Franche-Comté et nos partenaires Région Bourgogne-Franche-Comté , Institut Français de la Vigne et du Vin , GEST, CIVC, Lycée viticole de Beaune.
Les 8 participants ont progressé sur leurs connaissances des signes des volailles, et fait le lien avec les pratiques d'élevage qui favorisent leur bien-être. L'après-midi était consacré à l'autopsie des volailles, afin de comprendre les origines des problématiques d'élevage et d'y répondre.
Cette formation a permis aux éleveurs de répondre à la réglementation bien-être en élevage de volaille.
8 éleveurs ont commencé un parcours de formation pour comprendre le fonctionnement alimentaire des ruminants et être autonome dans leurs choix de rations. La formation se poursuivra fin janvier par une journée portant sur les coûts de production, afin que chacun puisse mettre en place des leviers d'amélioration technico-économique sur sa ferme.
Paris, le 23/01/2023.
Alors que le gouvernement vient de modifier à la marge le référentiel du label agricole « Haute Valeur Environnementale »(HVE), un collectif composé d'associations de défense des consommateurs, de l'environnement et de la santé, d'agriculteurs et d'entreprises biologique, a saisi hier le Conseil d'Etat pour faire reconnaître la tromperie du consommateur qui dure depuis plus de 10 ans et mettre un terme au greenwashing entretenu par cette mention.
Les maraîchères et maraîchers bio de Bourgogne ont eu l'occasion de faire le bilan de cette saison chaude et sèche que fût l'année 2022. Tous ont pu partager leurs expériences de la saison : techniques culturales, gestion de l'enherbement, gestion des maladies et des ravageurs, commercialisation, ainsi qu'un focus particulier sur l'irrigation et la ressource en eau, élément clef de la saison 2022. Les échanges ont été nombreux autour des réussites et des difficultés des uns et d'autres. Et nous espérons que chacune et chacun est reparti avec des nouvelles idées pour que la saison prochaine soit fructueuse !
Le Synabio, FOREBio et la Fnab adressent une lettre ouverte aux dirigeants des enseignes Leclerc, Super U, Carrefour, Auchan, Casino, Intermarché et Cora pour les enjoindre à ne pas retirer les produits bio de leurs rayons.
Dans cette lettre, Mathieu Lancry, président de FOREBio, Philippe Camburet, président de la Fnab, et Didier Perréol, président du Synabio, font notamment état de la concurrence de labels « HVE ou Zéro résidus de pesticides, qui s'approprient les codes du label bio alors qu'elles sont loin d'offrir le même niveau d'exigence, crée la confusion chez les consommateurs » et de la baisse des assortiments bio en grande distribution qui « risque de provoquer de la casse dans les fermes et les entreprises, avec un impact à long terme pour la bio française ».
Texte à retrouver dans son intégralité ici.
Paris, le 29/11/2022. Alors que depuis un an la « crise » de la Bio est dans toutes les bouches la réaction publique est trop lente et trop timide. Mercredi matin, le Sénat débattra de la mission Agriculture du projet de loi de finances 2023, or aucune mesure nouvelle n'a été introduite pour répondre à la situation du marché.
Retrouvez l'intégralité du CP ici.
Début novembre, la FNAB et plusieurs autres organisations professionnelles agricoles, de la restauration collective et ONG appelaient le gouvernement à soutenir la restauration collective dans le projet de loi de finance. L'occasion de rappeler l'importance de ce levier dans les enjeux de précarité alimentaire et de transition agroécologique.
Retrouvez l'intégralité de La Tribune ici.
5 porteurs de projet étaient présents et ont pu découvrir les bases d'un projet d'installation : l'accès au foncier, l'accès à l'eau, les investissements indispensables, les points de vigilances, la cahier des charges bio, la commercialisation....
L'après-midi, la journée s'est poursuivie chez Olivier Boursillon à la Ferme de l'Huis Périgou pour un retour pratique sur son installation récente en maraîchage et plants bio !
Organisée en partenariat avec la Chambre d'Agriculture de la Nièvre
Les éleveurs participant à la formation ont pu alterner des moments d'apports théorique, d'exercices appliqués et de confrontation en ferme sur diverses thématiques : réadaptation du système fourrager, choix des espèces de prairies temporaires, utilisation et conduite des surfaces fourragères, mise en place du pâturage tournant, conduite des jeunes et de la reproduction et enfin rationnement des animaux.
Ils en sortent enrichis en idées de leviers à utiliser sur leur ferme, et munis d'outils de pilotage de leur ferme afin d'engager des levier à moyen et long terme pour assurer la pérennité de leur système dans les années à venir.
Détail réservé aux adhérents
Le CNAB du 25 octobre a voté les dernières évolutions du guide de lecture. Celles-ci concernent :
Les visites techniques de fermes maraîchères bio se sont déroulées fin octobre sur 3 fermes des départements de la Côte d'or, la Nièvre et l'Yonne.
A Magny-sur-Tille, les participant·e·s ont pu échanger à propos de la gestion des chardons sur la ferme, ainsi que les réussites de semis direct de légumes. A Alligny-en-Morvan, le retour d'expériences de la ferme face aux dégâts de grêles a permis aux maraîchers et maraîchères présent·e·s d'appréhender une façon de faire face à cet aléa très impactant dans la profession. A Vault-de-Lugny, les participant·e·s ont pu s'initier et/ou approfondir leurs connaissances sur la production de champignons de Paris sur une ferme maraîchère. La présence de Grégory Vandaele de Pepimat a pu appuyer les pratiques des maraîchers accueillant la visite sur leur ferme.
Les prochaines visites en fermes maraîchères bio auront lieu l'année prochaine, mais d'ici là nous nous retrouverons nombreux·ses (on l'espère !) pour les bilans de campagne de la saison 2022.
Vous êtes agriculteur/rice bio ? Vous vous posez des questions quant à la nouvelle PAC et ses implications pour les producteurs/rices bio ?
BIO BOURGOGNE vous invite à un webinaire sur la PAC 2023 le jeudi 3 novembre après midi, à partir de 14h. (14h-16h)
Inscrivez-vous au webinaire ICI pour tout savoir et poser vos questions ! Ce webinaire est réservé aux adhérent(e)s.
Un lien de connexion visio vous sera envoyé la veille du webinaire.
L'automne arrive, et avec lui l'édition 2022 de l'ORAB Bourgogne-Franche-Comté. La bio a encore progressé en 2021, et l'agriculture conventionnelle ne représente plus que… 90% de la SAU régionale ! (et nationale). Une étrange façon, et peut être choquante, de dire que la bio en occupe aujourd'hui 10%.
(…)
L'Observatoire est téléchargeable sur la page dédiée de notre site
Ce programme varié a été enrichi par de nouveaux thèmes tels que « Devenir référent bien-être animal », la conservation des aliments, mais aussi pour répondre à vos besoins, identifiés lors de notre enquête de début d'année, et notamment : vitiforesterie, créer ses outils de communication, accueillir du public sur sa ferme, communiquer sur son métier…
…et toujours les formations techniques sur les pratiques culturales, l'amélioration des performances en élevage, les nouvelles obligations sanitaires, et sur la communication, l'accompagnement à la cessation d'activité, la nouvelle PAC…
Nous ne doutons pas qu'une ou plusieurs de nos formations répondront à vos attentes.
Si vous n'avez pas encore reçu notre catalogue dans votre boîte aux lettres, consultez-le dès maintenant :
…et n'hésitez pas à nous en demander un exemplaire, nous vous l'enverrons gratuitement.
Si vous êtes intéressé(e) par une ou plusieurs formations, vous pouvez contacter le ou la responsable de stage ou remplir le bulletin de préinscription téléchargeable ici.
Les programmes détaillés vous sont envoyés par mail dans le mois précédant les formations.
Dans l'attente de vous retrouver !
Les maraîchers et maraîchères bio de Bourgogne ont eu l'occasion de se retrouver cet été lors des visites de fermes organisées par Bio Bourgogne dans les 4 départements. Les visites ont été riches d'échanges sur les pratiques de chacun et chacune. Ce fût également l'occasion de découvrir des fermes et des outils, comme le robot Oz et la campagnole.
Les personnes participantes sont reparties après les journées en dehors de leur ferme avec un nouveau souffle et de nouvelles idées pour avancer dans leur projet.
Prochaines visites en maraîchage bio prévues à l'automne.
Inscrivez-vous ou connectez-vous sur Agri-Echange www.agri-echange.org, recherchez l'offre dont vous avez besoin au plus près de chez vous et mettez vous en contact avec l'agriculteur.
Pas besoin de chercher quoi lui rendre, grâce à la plateforme, vous pourrez rendre un service au moment où vous le pourrez et à la personne qui en aura besoin !
Et grâce à votre compte en ligne, pas de transfert d'argent…
Si ce que vous cherchez n'est pas disponible contactez nous, nous nous ferons un plaisir de vous aider a trouver une solution : contact@agri-echange.org ou tel : 06 47 75 27 92
Paris, le 01/07/2022. Avec la création d'un 3eme niveau dédié à l'agriculture biologique dans l'éco-régime et une différence de 30€/ha/an avec le niveau 2, le CSO reconnaît que les avantages environnementaux et sociaux des certifications bio et HVE ne sont pas comparables.
Avec l'augmentation du crédit d'impôt à partir de 2023, les paysans bio voient arriver une PAC qui va compenser un peu ce qui a été perdu en 2017.
Paris, le 30/06/2022. Alors que la Cour des comptes publie ce matin son rapport sur la situation du soutien public à l'agriculture biologique, le nouveau ministre de l'agriculture annoncera demain les arbitrages de la future Politique Agricole Commune. C'est en réalité maintenant que se joue le bilan du quinquennat sur la transition écologique de l'agriculture et à ce stade il n'est pas bon.
Paris, le 23/06/2022. Dans la dernière ligne droite des négociations sur la politique agricole commune, les discussions vont bon train sur un élément clé demandé par la commission européenne : rémunérer les labels en fonction de leurs bénéfices réels pour l'environnement, et donc mieux rémunérer la Bio. Une récente information publiée par Contexte avance le chiffre de 10 euros de différence par hectare et par an entre les labels Bio et HVE, amenant la Bio à n'être valorisée qu'à 90 euros par hectare et par an. Pourtant des travaux scientifiques passés montrent que la valeur des pratiques bio se situe bien au-delà.
Le contexte national et régional révèle l'urgence de se saisir de la question de la transmission des fermes sur nos terri- toires. L'enjeu pour maintenir les fermes et la résilience des territoires est fort, et questionne aussi l'impact sur le développement de l'agriculture biologique.
Depuis 2021, le réseau bio de Bourgogne Franche-Comté a lancé une enquête sur l'avenir de nos fermes bio sur le territoire. L'objectif ? mieux connaître les fermes à transmettre et les échéances des transmissions, sensibiliser les producteurs à l'importance d'anticiper la transmission et leur permettre d'exprimer leurs besoins d'accompagnement.
Paris, le 25/05/2022. Alors que la plupart des député-e-s de la majorité redemandent le soutien des français pour un second mandat, la FNAB fait le constat qu'ils n'ont pas atteint les objectifs qu'ils se sont fixés sur la Bio . A trois semaines du 1er tour des législatives, le réseau FNAB lance sa campagne sur les cantines Bio pour demander aux futur-es député-esde s'engager à voter les mesures nécessaires à l'atteinte des objectifs !
Candidats et candidates, engagez-vous pour que les 20% de Bio à la cantine soient une réalité ! (…)
Paris, le 24/05/2022. Le président de la République entame son second mandat en affirmant que « ce quinquennat sera écologique ou ne le sera pas ». Pourtant jusqu'à aujourd'hui le gouvernement a échoué à atteindre les objectifs qu'il s'était fixé en matière de développement de l'agriculture biologique. Ni l'objectif de 15% de surfaces en Bio au 1er janvier 2022, ni celui de 20% d'aliments bio dans les cantines à la même date n'ont été atteint. La profession agricole biologique attend donc de son nouveau ministre des annonces fortes et rapides pour que la Bio soit à nouveau une priorité politique.(…)
Conformément à la réglementation, l'approvisionnement en animaux biologiques dans les fermes bio doit être privilégié. Pour faciliter l'accès et donner un aperçu de la disponibilité, l'INAO a récemment mis en ligne une base de donnée nationale des animaux bio disponibles à la vente. A terme elle devra servir de référence pour tout achat d'animaux.
Nos collègues du réseau bio en Puy de Dôme (Bio 63) partagent une fiche pour présenter et faciliter la prise en main de l'outil BEEGIS par les apiculteurs bio pour gérer leurs emplacements de ruchers.
Pour la consulter : Télécharger la fiche
En application de l'arrêté ministériel du 16 décembre 2021 (AGRG2134169A) et de l'instruction technique liée (DGAL/SDSBEA/2022-25 du 30/12/2021), à compter du 1er janvier 2022, tous les élevages doivent désigner un "référent bien-être animal" avec obligation de formation de ce dernier dans le cas des élevages de porcs et de volailles.
Pour tous les éleveurs
Le référent «bien-être animal» peut être le responsable d'élevage lui-même ou une personne qu'il désigne au sein de son personnel. Le responsable d'élevage s'assure de disposer en tout temps d'un référent «bien-être animal» désigné.
La désignation du référent «bien-être animal» est annoncée par voie d'affichage sur chaque site de l'élevage où il intervient, ainsi que mentionnée explicitement dans le registre d'élevage (nom, prénom, coordonnées, date de désignation et signature du référent).
A l'heure actuelle, seuls les élevages de porcs et volailles sont concernés par l'obligation de formation de leur "Référents bien-être animal".
Plus d'informations la formation > suivez le lien + d'infos.
"Mon projet est de rendre ma ferme transmissible, pour qu'un jeune puisse en vivre"
En 2021, une première enquête envoyée aux agriculteurs et agricultrices bio de Bourgogne a permis de dresser un premier état des lieux des fermes bio à transmettre. L'objectif était de commencer un premier recensement des fermes à transmettre et des besoins en termes d'accompagnement.
Merci pour votre participation!
Depuis janvier, une petite dizaine de personnes en réflexion sur leur projet de transmission se sont retrouvées durant 4 journées rythmées par des partages d'expériences, des interventions d'experts, une visite de ferme et des animations pour les aider à construire leur parcours de transmission. Chacun ayant un projet unique : production variée, statut différent, échéance allant de 10 ans à quelques mois, etc. En bref la construction d'un groupe bienveillant et les apports de Terre de liens, la SAFER, la MSA, l'AFOCG, BIO BOURGOGNE et d'une médiatrice en relations humaines, a permis à chacun d'avancer sur son parcours.
Ce parcours co-organisé avec Terre de Liens BFC était une première et sera renouvelé prochainement ! Si vous avez des questions sur la transmission n'hésitez pas à nous contacter.
La Commission européenne a envoyé, la semaine dernière, ses « lettres d'observations » à 19 des 27 États membres, dont la France, sur leurs Plans Stratégiques Nationaux (PSN) de la PAC. Si la Commission avait initialement annoncé rendre ces lettres immédiatement publiques, elle a finalement reporté leur publication à fin avril. Une fuite de la lettre adressée à la France aura cependant permis à la plateforme Pour une autre PAC d'y avoir accès.
La Commission y incite explicitement la France à rehausser l'ambition de son projet de PAC 2023–2027, en particulier son architecture environnementale, confirmant, par-là, l'analyse et les demandes formulées par Pour une autre PAC depuis le début des négociations.
En particulier, le fait de traiter la bio et HVE au même niveau dans l'éco régime est sévèrement critiqué.
Nous avons le plaisir de vous informer et vous convier aux portes ouvertes du Jardin des Thorains qui se tiendront le Samedi 16 Avril 2022, de 9h à 18h,
dans notre ferme à Lavau (89).
Au programme (voir flyer ci-contre) : visite du jardin, dégustation des produits transformés à la ferme (sirops, tartines, confiture…), animations tout public autour de la biodiversité et du jardinage…
Nous aurons le plaisir d'accueillir plusieurs acteurs du monde agricole afin de discuter autour d'une table ronde sur les thèmes de l'agroécologie, des initiatives locales,
la biodiversité et tout autre sujet en lien avec ces thématiques.
Il y aura une buvette à disposition, notre épicerie et la vente de plants et de semences seront bien évidemment ouvertes et à partir de 16h, se tiendra un petit marché paysan.
Malgré la dispersion des Français vers de nouvelles tendances de consommation responsables, le bio reste le repère de la transition alimentaire.
« Des Français de moins en moins freinés par le prix du bio, notamment chez les jeunes et les plus modestes »
« Le label AB demeure le référent du mieux-manger des Français, qui demandent à être davantage informés sur les garanties du bio »
Retrouvez le dernier baromètre de l'Agence bio sur la situation du marché : ICI
Une procédure d'indemnisation complémentaire des agriculteurs assurés contre les risques climatiques est ouverte du 25 mars au 6 mai 2022 à 14 h00
Ce dispositif permet aux entreprises agricoles, qui ont perçu une indemnisation au titre de leur contrat d'assurance climatique pour couvrir des pertes de récolte en arboriculture, en raisin de cuve et raisin de table, petits fruits, ainsi que pour certaines grandes cultures (betterave sucrière, colza, lin, houblon et semences de ces cultures), de bénéficier d'une aide ayant vocation à compléter l'indemnisation reçue de leur assurance, sous certaines conditions, et dans le cadre posé par les lignes directrices agricoles et forestières.
L'ensemble des informations relatives à cette aide (procédure de dépôt, calendrier, calcul de l'aide…) sont disponibles ici.
Mercredi 23 mars, les porteurs de projets en maraîchage bio icaunais ont fait la rencontre d'Eric, maraîcher bio installé à Marsangy depuis 12 ans sur une ferme Terre de Liens : Le jardin des Marais.
Cette journée en partenariat avec le PAI de l'Yonne a été le moment d'échanger autour des thématiques de l'installation : investissement, création d'entreprise, choix du foncier, ergonomie de travail, choix des pratiques maraîchères (plastique ou pas, travail du sol ou pas…etc) revenu et même vacances ! L'après-midi de la journée était dédiée à la visite de la ferme d'Eric : tour de serre, du matériel, techniques de culture, fertilisation, la pépinière, lutte contre les maladies et ravageurs de façon à utiliser le moins de produits phytosanitaires.
La journée s'est clôturée par la dégustation du jus de pomme produit sur la ferme.
Paris, le 28/03/22 La FNAB a toujours manifesté son désaccord politique dans la légalité, le respect des biens et des personnes
Ce week-end, des milliers de personnes ont répondu à l'appel des associations et syndicats à venir manifester, dans la non violence, leur désaccord aux projets de méga-bassines, leur intérêt pour l'enjeu eau et leur souhait de débattre de ses justes usages.
La FNAB se félicite de l'accord trouvé ce jeudi au Salon de l'agriculture à l'issue d'une série de réunions entre les acteurs de la bio et les organisations interprofessionnelles, pour lancer la première campagne de promotion de l'agriculture biologique qui sera co-construite par l'Agence Bio et les interprofessions. (…)
Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse
Paris, le 26 février 2022. Alors que le salon international de l'agriculture, grand évènement des interprofessions agricoles, ouvre ses portes, paysans et paysannes bio des réseaux FNAB et FOREBIO se posent la question du rôle que pourrait jouer ces structures pour agir contre le ralentissement des marchés biologiques. Entre petites phrases assassines et refus de financer des campagnes promotionnelles sur la bio, c'est à se demander si ces structures sont vraiment alignées sur l'objectif de 18% de SAU bio annoncé par le gouvernement pour 2027.
Bio Ile-de-France accompagne actuellement une transmission de ferme, très proche de nos frontières bourguignonnes. Il s'agit d'une exploitation en maraîchage biologique d'un peu plus de 6ha, en commodat. Une belle opportunité pour une ferme qui tourne bien!
L'aide régionale sur les investissements en cultures maraîchères et de petits fruits et de plantes à parfum, aromatiques et médicinales (PPAM) est sortie.
Pour rappel :
le taux d'aide de la région est de 30% des dépenses éligibles. Le taux d'aide peut être majoré dans les cas suivants :
- + 10 % pour un jeune agriculteur installé depuis moins de 5 ans.
- + 10 % pour les ateliers certifiés en AB ou en cours de conversion
- + 10 % pour les CUMA
Les majorations JA et AB sont cumulables.
Le taux maximal d'aide publique autorisé est de 50%
Dépot de dossier jusqu'au 30 juin 2023.
Paris, le 22 février 2022. Le cahier des charges du label FNAB s'enrichit de onze nouveaux critères visant à favoriser la biodiversité sur les fermes biologiques, ils viennent s'ajouter aux neuf critères sociaux présentés le 15 février dernier et à ceux qui préexistaient sur le commerce équitable. Ces indicateurs ont été construits par les agriculteurs et agricultrices du réseau FNAB pendant toute l'année 2020, avec l'appui d'expertises extérieures dans le but d'améliorer encore la performance de la bio sur la protection de la biodiversité.
Jeudi 17 février, la démonstration de la plantation de 1200 mètres linéaires de haies à Chigy chez Florence et Jérôme Vincent à rassembler des agriculteurs prêts à planter. Lors de cette visite, les pépinières Naudet ont fait la démonstration de leur prestation de plantation en compagnie d'Isabelle Jounot. Cette démonstration a été appuyée par la présence de Romuald Bardot, technicien bocage au CPIE Yonne-Nièvre. Cela a permis également de rappeler les aides existantes pour planter en Bourgogne, ainsi que les premiers entretiens à bien penser.
Paris, le 15/02/2022
Acteur de la transition écologique et du progrès de l'agriculture depuis 40 ans, la FNAB s'engage aujourd'hui dans une démarche de progrès et d'innovation sociale. Au terme d'une année de travail qui a mobilisé l'ensemble de son réseau, elle a identifié et formalisé neuf critères pour améliorer le bien-être au travail. Adoptés à l'unanimité par son Conseil d'administration, ils seront intégrés dès cette année au label qu'elle a lancé à titre expérimental en 2020.
"La transmission d'une ferme c'est délicat et complexe. C'est pourquoi ça vaut le coup de la préparer plusieurs années à l'avance"
D'ici 2026, la moitié des agriculteurs et agricultrices seront en âge de partir à la retraite (CESE 2020) : afin de répondre à l'enjeu fort du renouvellement des générations agricoles, BIO BOURGOGNE souhaite accompagner au mieux la transmission des fermes en agriculture biologique .
pour que nous puissions connaître votre situation, identifier vos besoins et les potentielles fermes à transmettre dans les prochaines années pour en informer des porteurs de projet, et sensbiliser les acteurs territoriaux de l'enjeu fort du renouvellement des générations agricoles.
Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à nous contacter
Merci par avance de votre participation !
Les formations "Planter des haies et des arbres : quels intérêts dans mon système de production en bio ?" ont regroupé une quinzaine de producteurs à travers les départements de l'Yonne, de la Côte d'or et de la Nièvre. Romuald Bardot, technicien bocage pour le CPIE Yonne-Nièvre, a expliqué les différents intérêts climatiques des arbres dans les parcelles agricoles : brise-vent, lutte contre le gel, anti-dérive, ombrage, ainsi que les productions que les arbres peuvent fournir à terme, comme le bois de chauffage, la litière pour les animaux, les copeaux en paillage etc... La journée de formation s'est terminée par la visite d'une plantation dans chacun des départements avec les rappels des clefs d'une plantation réussie !
Mardi 1er février, la démonstration de la plantation de 400 mètres linéaires de haies à Varois-et-Chaignot chez Nicolas Bellet à rassembler une dizaine de curieux et d'agriculteurs prêts à planter. La visite de sa plantation appuyer par la présence de Romuald Bardot, technicien bocage au CPIE Yonne-Nièvre a été le moment de rappeler les aides existantes pour planter en Bourgogne, ainsi que les premiers entretiens à bien penser.
La formation "Ergonomie en maraîchage biologique : gestes, postures et astuces mécaniques" s'est déroulée à Longecourt-les-culêtres en présence de Jérémie Clairotte, ergonome pour la MSA services. Les maraîchers présents ont pu prendre le temps pendant une journée de réfléchir à leurs postures dans leurs activités quotidiennes : plantation, désherbage, lavage, récolte, chargement des légumes pour la vente, stockage. L'après-midi s'est déroulée sur une ferme ayant réfléchie l'ergonomie au champ et dans le batiment de stockage et vente avec de nombreux outils pour limiter le port de charges (charriot, porte-tout), limiter le temps de travail (triangle d'attelage) et adaptés ces outils aux maraîchers et salariés de la ferme. Les échanges ont été riches et les astuces de chacun et chacune pour préserver son corps dans la durée ont été nombreuses !
L'Institut de recherche sur la Nature et la Forêt et Bruxelles Environnement mène une étude sur les interactions entre l'agriculture et la conservation de la nature dans les zones protégées.
Ils sont à la recherche de projets/entreprises agricoles, répondant aux critères suivants :
- Pratique agro-écologique (agriculture en coopération avec la nature, de manière circulaire et durable, sans utilisation de produits chimiques).
- Pratique appliquée dans une zone protégée (zone soumise à des restrictions légales en faveur de la conservation de la nature ou du paysage)
- Pratique agricole économiquement viable (fournissant au moins un emploi à temps partiel)
Pour trouver ces projets/entreprises, ils lancent une enquête (qui prend 15 minutes) : ENQUÊTE SUR L'AGRICULTURE AGRO-ÉCOLOGIQUE ET LA PROTECTION DE LA NATURE
La date limite pour remplir l'enquête est le 20 février 2022.
Mardi 15 décembre 2021, une quinzaine d'éleveurs, principalement nivernais, se sont réunis en visioconférence pour le lancement d'une formation en 4 séquences portant sur la conduite et l'évaluation des intérêts économiques et humain de l'élevage de bœufs en bio. Cette première 1/2 journée à distance a permis une forte participation, tout en gardant les pieds à proximité de la ferme en ces début des vêlages.
Les apports, sur le pointage des animaux (broutards et potentiels reproducteurs et reproductrices), et les différentes méthodes de castration et leurs cadres règlementaires d'usages, ont été fait à plusieurs voix entre Marie DE GENTIL (Coopérative SICAGIEB) et les conseillers de BIO BOURGOGNE. Ils ont amené de nombreux échanges entre les participants laissant entrevoir des bonnes bases pour la suite de la formation, planifiée le 15 février 2022.
Après 1 jour et demi de travail en visioconférence et en salle, les participants à la formation "Analyser l'efficacité technico-économique de son élevage avicole et progresser par des pratiques innovantes" ont appris :
Lors du 26 et 27 janvier prochains le groupe de 12 éleveurs monterons en compétence sur le volet sanitaire, grâce à l'intervention de Christine FILLIAT, vétérinaire spécialiste des élevages avicoles alternatifs.
Contenu réservé aux adhérent·e·s des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur·trice du Groupement des Agro-Biologistes (GAB) de votre département.
Contact : Camille Giraudet / 06 49 58 62 40
Mi-décembre, les maraîchers et maraîchères bio de Bourgogne se sont retrouvé·e·s dans chacun des départments pour échanger sur la saison froide et pluvieuse de l'année 2021. Les échanges, nombreux, se sont notamment portés sur les adaptions au climat comme avec l'usage de voiles thermiques sur tomate en cas de gel ou encore l'usage de toiles d'ombrage aussi facile à mettre en place qu'à retirer pour gérer la température dans les abris. Chacun et chacune a pu également partager sa façon de conduire des légumes face à des bioagresseurs comme par exemple : les oignons de conservation face au mildiou et mineuse, la tomate face aux maladies cryptogamiques, les concombres faces aux acariens, les betteraves et blettes faces aux charançons et puis les rongeurs sur tout type de légumes. Ce bilan saisonnier a aussi été l'occasion de se retrouver dans un moment convivial et de clôturer la saison 2021.
Contenu réservé aux adhérent.e.s des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes (GAB) de votre département.
Contact : Lucie Paumelle, 06 89 27 97 68
BIO BOURGOGNE souhaite vous partager un compte rendu du forum sur les filières grandes cultures bio qui a eu lieu jeudi 9 décembre 2021 Marsannay-la-Côte afin que les informations principales de cette journée soient disponibles pour tous. Evénement organisé par BIO BOURGOGNE et l'InterCLE (nappe Dijon Sud).
Compte rendu de la journée filières grandes cultures bio - 09/12/2021
De nombreuses évolutions règlementaires pour l'agriculture biologique ont eu lieu en 2021, avec notamment des évolutions du guide de lecture français ainsi que la parution du nouveau règlement bio qui sera mis en application au 1er janvier 2022.
Bio Bourgogne vous propose une synthèse de ces évolutions.
Paris, le 12/11/2021. Ce matin, l'Assemblée Nationale a adopté deux amendements déposés sur le projet de loi de finance 2022 prévoyant de prolonger le crédit d'impôt bio jusqu'à 2025 et de l'augmenter à 4.500 € par bénéficiaire et par an. Ces amendements ont reçu le soutien de plusieurs groupes parlementaires et un soutien de « sagesse » du gouvernement. Si pour être adopté définitivement ce dispositif doit encore passer par la navette parlementaire, cette décision est enfin un signal positif envoyé par le gouvernement aux agriculteurs et agricultrices biologique après des arbitrages PAC défavorables pour les fermes bio.
L'ITAB, Sayari et Very Good Future ont remis à l'Ademe et au Ministère de la Transition écologique leur proposition d'affichage environnemental des produits alimentaires : le Planet-Score.
Basée sur l'ACV, cette proposition intègre les avancées scientifiques récentes sur les impacts des pesticides sur la santé et l'environnement, les impacts des pratiques sur le climat et la biodiversité et synthétise cette évaluation multicritère dans un score composite, intuitif et visuel, en phase avec les attentes des consommateurs.
En application de la loi relative à la lutte contre le gaspillage alimentaire et à l'économie circulaire, une expérimentation de 18 mois a été engagée par le Gouvernement pour définir, d'ici fin 2021, un affichage environnemental destiné aux produits alimentaires.
Retrouvez le communiqué de presse ici.
La commission élevage s'est tenue hier à Pouilly en Auxois. Elle a réuni une dizaines d'éleveurs adhérents de notre réseau. Le bilan des actions de cette année a été dressé, et les éleveurs ont donné leurs orientations pour piloter le service sur la suite des actions.
Les chiffres de développement de l'élevage bio et du service ont également été présentés, ainsi qu'une synthèse des évolutions réglementaires et les positions prises par le réseau bio sur les thématiques qui touchent l'élevage.
L'après midi, les échanges ont été riches et ont permis d'avancer sur l'accompagnement des filières bio en 2022, notamment sur :
- le voyage d'étude filières rémunératrices
- le voyage d'étude de filières locales en porc bio
- le projet collectif de surgélation de viande
- le GIEE DEFIVOROBIO (veau bio sous la mère en circuits courts).
- La filière viande caprine
Pour rejoindre les membres porteurs de la commission élevage, il faut être élu en AG de GAB. Les adhérents sont invités à la commission annuelle.
Plus d'infos sur le fonctionnement de la commission spécialisée (lien)
La partie collective de la formation "Amélioration ma rémunération en polyculture-élevage par la maitrise des charges et l'optimisation du produit" s'est terminée, après 3 journées mi-théoriques, mi-pratique en ferme, les éleveurs se sont enrichis d'idées et vont pouvoir mettre en place un plan d'action adapté à leurs besoins, avec l'appui des conseillers.
Les éleveurs participant à la formation "Maîtrise du parasitisme" ont pu fabriquer leur propre complément alimentaire pour assurer le confort digestif des jeunes en bâtiment.
La deuxième journée de formation est prévue en mars prochain pour aborder la gestion de l'herbe comme levier à la maitrise de l'infestation des animaux.
Un projet d'installation agricole de deux paysans boulangers et un éleveur de poules pondeuses a pour but de créer une ferme collective en agriculture paysanne et biologique, avec vente en circuits courts. Le projet collectif inclut aussi un projet d'habitat participatif de trois foyers. Les membres de la Berouette sont en recherche de foncier dans le Sud Morvan, autour d'Autun. N'hésitez pas à faire circuler l'info et leur plaquette de présentation.
Paris, le 15 octobre 2021. Le prosulfocarbe, herbicide très volatile, contamine chaque année des cultures sur lesquelles il n'est pas utilisé, notamment des cultures bio. Les désherbages chimiques d'automne sur les céréales ont commencé et malgré notre demande de suspension des autorisations de mise sur le marché formulée en juin , rien n'a été fait pour empêcher de nouvelles contaminations. Les paysans bio, représentés par la FNAB, et leurs coopératives, représentés par Forébio, s'allient à l'association Générations Futures pour demander aux préfets l'interdiction immédiate de tous les produits à base de prosulfocarbe afin d'éviter de nouvelles destructions de récoltes biologiques.
Le contenu de cet article est réservé aux adhérents. Il est consultable dans la lettre d'information mensuelle les Nouvelles de la Bio.
La journée à destination des porteurs de projet en maraîchage biologique de l'Yonne a eu lieu mardi 12 octobre à Vault-de-Lugny sur la ferme du GAEC DALLEAU. En partenariat avec le point accueil installation de l'Yonne, cette journée a été le moment de représenter les étapes de l'installation, les aides auxquelles les futurs agriculteurs peuvent prétendre. Chacun et chacune a pu échanger sur l'état actuel de leur installation et leurs objectifs à venir en termes de structure de ferme (taille, foncier, commercialisation, statut juridique) et de fonctionnement technique (bâtiment, matériel, serre, irrigation, variétés de légumes, fertilisation...etc.). Adeline, la maraîchère de l'exploitation qui accueillait l'événement a pu témoigner sur chacun de ces aspects et ainsi nourrir les réflexions des porteurs et porteuses de projet.
Lundi 11 octobre 2021, une quinzaine de maraîchers se sont retrouvés pour découvrir la ferme de Valentine Cuiller, maraîchère à Brassy dans la Nièvre. Cette visite, organisée par BIO BOURGOGNE, a permis de faire le tour des cultures et d'échanger sur les problématiques et les réussites rencontrées par chacun en pleine saison, sur les cultures d'été. Les discussions ont aussi porté sur les variétés cultivées, les assolements et les investissements réalisés depuis l'installation (tunnels, chambre froide, réseau d'irrigation, petits matériels, etc.).
Deux journées de démonstration de matériel en maraîchage bio de l'entreprise terrateck ont eu lieu en septembre dernier dans l'Yonne et en Côte d'or. Les outils présentés ont pu être testés sur des fermes en maraîchage diversifiés sur petites surfaces et en réduction du travail du sol. Les participants ont pu tester : des semoirs (monorangs ou 12 rangs), des perforateurs, une canne de plantation, de nombreux outils de désherbage à manches : sacloir (delta, omega, à fil), des roues sarcleuses, un désherbeur thermique et puis une récolteuse à mesclun. Les échanges sur les usages des outils ont été riches. Ces journées de démonstrations ont permis le partage d'expériences entre maraîchers et maraîchères du réseau.
La formation "Réaliser mon plan de maîtrise sanitaire sur mon site de transformation et/ou de vente directe" a eu lieu à la ferme de Rivault à Autun les 23 et 30 septembre dernier !
Une formation qui a permis de (re) voir les bases réglementaires et pratiques de l'hygiène et des méthodes telles que "l'HACCP", aussi bien en transformation animale que végétale, et qui était animée par Françoise Morizot du CERD.
Les participants sont repartis satisfaits et avec de quoi mettre en pratique ce qu'ils ont appris sur leurs ateliers !
Une prochaine session sera probablement programmée au mois de janvier 2022, si vous êtes intéressés n'hésitez pas à vous faire connaître.
La commune de Varennes-Vauzelles a pour projet de développer une zone de maraîchage au printemps 2022 afin d'approvisionner en produits frais la restauration de l'EHPAD et de la Résidence Autonomie et à but pédagogique également notamment pour les écoles communales, un public intéressé et un public cible.
Missions principales :
Poste à pourvoir à partir d'octobre 2021
Retrouver toutes les informations nécessaires ici.
BIO BOURGOGNE et ses partenaires vous accompagnent dans vos projets d'installation agricole.
Dans le cadre d'un travail partenarial avec le CERD, l'AFOCG 39 et le Serpolet, BIO BOURGOGNE vous propose la réalisation d'une étude de faisabilité de votre projet.
L'objectif ? étudier votre projet d'installation dans sa globalité, en prenant en compte les aspects techniques, économiques, foncier, humains, etc grâce à un accompagnement d'un animateur territorial et d'un conseiller technique.
N'hésitez pas à nous contacter pour discuter de votre projet !
Vous y trouverez près de 84 formations, dont plus de la moitié traite de nouvelles thématiques.
Nous ne doutons pas qu'une ou plusieurs de nos formations répondront à vos attentes.
Nous espérons que vous aurez plaisir à recevoir prochainement notre catalogue dans votre boîte aux lettres. Vous pouvez également le consulter ci-dessous :
ou nous en demander un exemplaire.
Si vous êtes intéressé(e) par une ou plusieurs formations, n'hésitez pas à contacter dès maintenant le ou la responsable de stage ou à vous pré-inscrire (bulletin téléchargeable ici).
Les invitations continuent de vous être envoyées par courrier dans le mois précédant les formations.
Dans l'attente de vous retrouver !
Le Comité National de l'Agriculture Biologique (CNAB), qui est en charge d'interpréter le règlement bio européen, a statué sur la question de l'accès à l'extérieur et au pâturage des veaux bio, qui fait débat depuis plusieurs années. Même si certains aspects restent à préciser, il est important que les éleveurs prennent connaissance des principaux arbitrages.
Dans l'Yonne, le GAEC Le Jardin des Traverseines a ouvert ses portes pour présenter les outils de désherbage mécanique utilisés sur la ferme et le choix et les intérêts des couverts végétaux à vocation d'engrais verts intégrés dans leurs rotations.
Dans la Nièvre, c'est la ferme de l'Huis Périgou à Maux qui nous a accueilli pour échanger sur les pratiques des maraîchers pour réduire le travail du sol et sur l'atelier de production de plants à destination des particuliers et des maraîchers professionnels.
En Saône-et-Loire, nous avons pu visiter la ferme des Paniers bio d'Ouroux. Les maraîchers ont présenté, entre autre, leurs itinéraires techniques pour les légumes d'été et la pastèque.
En Côte d'Or, le rendez-vous était donné au jardin d'insertion GREN à Sainte Colombe sur Seine. Au cours de cette visite, les échanges ont notamment porté sur l'utilisation des diffuseurs d'huile d'oignon pour éloigner la mouche de la carotte et sur les couverts végétaux intégrés dans les rotations.
Les prochaines visites de fermes auront lieu en automne, d'ici là, bonne saison à tous !
La campagne d'information portée par le réseau FNAB "Manger bio et local, c'est l'idéal" aura lieu cette année du 17 au 26 septembre 2021. Elle vise à mieux faire connaître l'agriculture biologique locale, ses pratiques, ses circuits de commercialisation et ses contributions positives pour l'environnement, la santé et la dynamique de nos territoires. C'est aussi une occasion conviviale de venir à la rencontre des hommes et des femmes qui l'incarnent au quotidien, du champ à l'assiette, à travers un programme variés d'événements organisés dans les fermes et sur les lieux de vente.
Si vous organisez un événement (visite de ferme, marché, cueillette, dégustation, animations…) durant cette période, faites-le nous savoir pour une communication globale !
L'objectif étant d'animer des échanges en se basant sur des expériences comme le PAT du Pays du Beaunois, qui a axé de nombreuses actions sur l'accompagnement de la transmission des fermes et la préservation du foncier agricole; ainsi que le Grand Autunois cherchant à faciliter l'approvisionnement local en restauration collective et à favoriser la création de filières et de débouchés viables pour les producteurs locaux.
L'après-midi s'est terminé par la présentation du groupe de travail composé de BIO BOURGOGNE, des Chambres d'Agriculture, SAFER, Terre de Liens, des JA et du CFPPA de Château Chinon; travaillant ensemble sur les enjeux de l'installation transmission sur le territoire du Morvan.
Mardi 1er juin, 7 agriculteurs se sont retrouvés à Tournus (71) afin d'échanger sur leurs pratiques en grandes cultures, avec pour base d'échanges la visite de la ferme de Jean-Paul Meulien. Ce dernier a converti ses parcelles de terres argilo-calcaires en AB en 2018. Les parcelles en sols plus hydromorphes, en zones inondables, où sont cultivés du maïs et du soja, sont restées en conventionnel. Jean-Paul Meulien a aussi installé un atelier de volailles bio en 2018. Ce mardi, il a conduit les participants sur ses parcelles bio de blé, de lentille et de féverole. Cette visite a été l'occasion d'échanger sur les systèmes de production de chacun, les similitudes dans les pratiques mais aussi les différences (liées aux conditions pédo-climatiques, à la présence ou non d'élevage sur l'exploitation mais aussi à des stratégies différentes d'exploitation, etc.). Un bilan positif pour cette première journée co-organisée avec Clément Dusserre, conseiller de la Chambre d'Agriculture de Saône et Loire.
Visite d'essai variétés de blés (et céréales secondaires) de printemps le mardi 22 juin à Couternon (près de Dijon). L'essai est réalisé chez Armelle Dubois. Il est piloté par Arvalis en partenariat avec les Chambres d'Agriculture de Bourgogne Franche-Comté, Inter Bio Franche-Comté et Bio Bourgogne. Outre les composantes du rendement, le pouvoir couvrant et la précocité à épiaison ont également été évaluées. La synthèse des résultats sera disponible après la récolte et les analyses de qualité. Un tour de plaine a suivi la visite avec observation de parcelles d'Armelle Dubois de soja, blé, chanvre et un test de culture de plusieurs variétés de haricot sec.
Philippe Houdan nous a présenté son système de production où 380 ha sur 400 ha de SAU sont cultivés, avec l'utilisation de couverts permanents. Il a aussi un troupeau de 280 brebis. Il a mis en place le semis direct sur sa ferme en 2008 avant de passer en AB en 2018. Cette visite nous a permis d'échanger sur les leviers mobilisés par les participants pour maximiser la couverture du sol. Une belle demi journée de visite qui a été clôturé par un déjeuner convivial avec l'ensemble des participants.
Le dispositif concerne l'agroforesterie intra-parcellaire c'est à dire « des alignements d'arbres au sein de parcelles agricoles ».
Le projet doit répondre à une volonté d'amélioration du revenu des agriculteurs, soit par la limitation des intrants (projet d'implantation d'arbres fourragers ou fournissant de la litière pour les animaux) soit par une diversification du revenu (implantation d'arbres fruitiers, de pré-vergers, bois-énergie, plants truffiers….). L'implantation de parcelles agroforestières pour faire du bois d'oeuvre n'est pas éligible.
Date limite de dépôt : 31/12/2021
Pour plus d'information : https://www.bourgognefranchecomte.fr/node/2822
Par un jugement rendu le 02/06/2021 (jour de mobilisation des paysans bio du réseau FNAB) le tribunal administratif de Dijon à condamné l'État pour faute dans une des quatre affaires des retards de paiement que la FNAB porté devant les tribunaux.
L'État est condamné à verser près de 20 000 euros de dommages et intérêt au plaignant (un adhérent du Gab de l'Yonne qui a cessé son activité à cause des retards de paiement). L'État été reconnu fautif de ne pas avoir instruit les aides bio "dans un délais raisonnable".
Après près d'1 an et demi d'attente, ce jugement est une première, et une grande victoire pour la FNAB et son réseau. Malheureusement, le tribunal administratif (TA) de Lyon à lui considéré que notre demande n'était pas fondée juridiquement. Néanmoins, nous attendons les jugements des TA de Nantes et de Besançon, auprès desquels nous avons portés deux autres dossiers.
Une rencontre étant prévue avec le Ministre de l'agriculture, nous attendons les suites de cet échange pour faire une communication plus large de ce jugement.
Nous vous tiendrons informés des suites, notamment des éventuels appels de l'État ou de la FNAB.
Mercredi 2 juin, une vingtaine d'agriculteurs, agricultrices et salariés de BIO BOURGOGNE et INTERBIO ont rejoint le rassemblement organisé par la FNAB, place des invalides, pour dénoncer les orientations prises pour la prochaine PAC. "Le gouvernement met la bio à poil !"
La mobilisation de plus de 400 personnes a regroupé des producteurs, salariés, retraités, et d'autres réseaux agricoles et environnementaux dont la Confédération Paysanne, France Nature Environnement et Greenpeace, de toute la France.
Philippe Camburet, ancien président de BIO BOURGOGNE et nouveau président de la FNAB, a introduit la mobilisation : "A travers ces arbitrages autour de la PAC, on choisit de favoriser l'agriculture des problèmes plutôt que de s'occuper de l'agriculture des solutions. [....] On demande une réouverture des arbitrages".
Plusieurs élus, conseillers municipaux, régionaux, européens ont exprimé leur soutien aux agriculteurs et agricultrices dans cette demande de négociation et la revendication de l'agriculture biologique face à HVE (haute valeur environnementale).
Même si la mobilisation n'était pas aussi forte que le nécessitent les enjeux, en cette pleine période d'activités agricoles, le réseau se félicite de la réussite du mouvement de "la bio à poil". Mais cela ne suffit pas ! Le Ministre reste inflexible et s'obstine à maintenir l'AB et HVE sur le même niveau de paiement dans l'écorégime. La mobilisation du réseau FNAB se poursuivra dans les semaines qui viennent, jusqu'aux arbitrages définitifs début juillet. Vous serez informés des actions par vos GAB.
Au-delà de l'enjeu des aides (pour rappel les agriculteurs bio perdront en moyenne 66 % d'aides environnementales dans la future PAC), le gouvernement n'entend pas reconnaître l'agriculture biologique pour les services qu'elle rend à la société et de fait comme le modèle d'agriculture vers lequel il est urgent de tendre.
«Quelle ambition pour l'agriculture bio dans notre région ? »
Le 3 juin, le réseau bio de Bourgogne – Franche Comté représenté par la Fédération Régionale d'Agriculture Biologique de BFC (FRAB BFC) accueillait les candidats à l'élection régionale à Saint-Jean de Losne. Les débats ont porté sur l'ambition des candidats pour l'agriculture biologique dans notre région. Une trentaine de personnes dans la salle a pu participer aux échanges et les débats étaient diffusés en direct sur la page facebook de BIO BOURGOGNE.
Vous trouverez ici la synthèse du contenu des échanges ainsi que le plaidoyer que nous avons rédigé pour l'occasion.
Une élection régionale est toujours un moment important de la vie de notre réseau, parce qu'elle est l'occasion de définir un nouveau cap et de nouveaux objectifs avec les élus de la Région pour un mandat de 6 ans. Un des enjeux pour notre réseau sera de renouveler la convention d'objectifs qui fixe les axes de travail prioritaires et sécurise les financements pour nos structures bio régionales.
Merci à tous d'avoir été présents pour ce moment d'échanges nourris et instructifs.
Paris, le 15 juin 2021. En mai dernier, des producteurs et productrices bio sont victimes d'une contamination de leurs cultures de Sarrasin et de Chia par un pesticide très utilisé en agriculture conventionnelle et dénoncé pour sa volatilité : le prosulfocarbe. 14 agriculteurs bio sont concernés, répartis sur le quart nord-ouest de la France. C'est la coopérative agricole biologique Biocer qui a fait les analyses et a détruit l'ensemble des lots pour protéger le consommateur. Résultat : 100 000 € de pertes pour les agriculteur-rice-s. Aucun système d'indemnisation n'est prévu par l'Etat, aucun recours n'est possible.
"Je suis très heureuse de succéder à Philippe Camburet, qui a présidé BIO BOURGOGNE ces 3 dernières années et j'ai très envie de m'impliquer pour continuer à défendre l'agriculture biologique ainsi que les valeurs que nous défendons au sein du réseau !
Je suis associée au sein du GAEC Henriot, nous sommes 3 associés dont mon conjoint. Je suis maman de 2 enfants de 8 et 10 ans. Notre ferme de 255 ha 100% bio se trouve à Villebichot (à côté de Nuits St Georges) et est conduite en polyculture élevage. Nous élevons 75 vaches allaitantes et leur suite, de race charolaise, bazadaise et ferrandaise. La moitié de la surface est consacrée à l'élevage, l'autre moitié à la production végétale. Notre ferme est ainsi autonome.
Nous avons développé la vente directe depuis 2011 pour valoriser une partie de nos animaux. Un moulin à meule de pierre type astrié, en place depuis 1 an, nous permet de transformer une petite partie de nos céréales en farine et de la vendre en direct, une autre manière pour moi de communiquer sur mon métier et nos valeurs.
Enfin, avant de m'installer j'ai été salariée de 2001 à 2012 : animatrice du Groupement des Agrobiologistes de Côte d'Or - GAB21 et animatrice élevage au SEDARB, devenu depuis BIO BOURGOGNE, structure à laquelle je reste attachée. Je suis d'autant plus émue par ma nouvelle fonction !"
Laurence Henriot, élue Présidente de BIO BOURGOGNE le 8 juin
Paris, le 14 juin 2021. Le ministre de l'agriculture affirme que les agriculteur-rice-s et biologiques ne seront pas les grands perdants de la PAC. La FNAB apporte des éléments de compréhension sur ce désaccord politique.
Participez, questionnez, comprenez !
Jeudi 3 juin à 15 h
Salle Polyvalente, rue du Port Bernard
Saint-Jean-de-Losne (21170)
Inscription :
Paris, 27/05/2021. Mardi 25 mai 2021, Le Monde publie un article révélant l'existence d'un rapport confidentiel de l'Office Français de la Biodiversité concernant l'efficacité environnementale de la certification dite de « Haute Valeur Environnementale ». Ce rapport affirme que la certification actuelle HVE peut s'obtenir sans amélioration environnementale réelle sur les fermes. Ce rapport n'a jamais été versé au débat alors même que le Ministère de l'Agriculture envisage de positionner le soutien à la HVE au même niveau que le soutien à la Bio dans la future politique agricole commune.
(…)
PAYSANNES et PAYSANS BIO
Denormandie VEUT METTRE LA BIO A POIL dans la nouvelle PAC :
0 € de PSE Bio
=
0 reconnaissance des services environnementaux que rend la Bio !
TOUTES ET TOUS A PARIS
2 JUIN 2021
PLACE DES INVALIDES A MIDI
POUR DIRE NON A LA FIN DES AIDES A LA BIO !
Paris, 21/05/2021. Même virtuellement on peut quitter une négociation ou plutôt un simulacre de négociation. C'est ce que la FNAB a décidé de faire ce matin en quittant le Conseil Supérieur d'Orientation présidé par le Ministre de l'agriculture et annonçant officiellement les premiers arbitrages de la prochaine PAC. D'autres organisations défendant une vraie prise en compte de l'environnement dans le fléchage des fonds publics agricoles sont aussi parties.
(…)
Paris, 12/05/2021. Le futur Plan Stratégique National en cours de discussion prévoit pour les agriculteurs et agricultrices biologiques une aide de 70 euros par hectare et par an sur l'éco-régime du premier pilier de la PAC. Cette aide va remplacer deux dispositifs (le paiement vert sur le pilier 1 et l'aide au maintien sur le pilier 2) qui représentaient en moyenne 202 euros par hectare et par an. C'est donc une perte nette moyenne de 132 euros par hectare et par an, soit 66% de soutien public en moins pour les fermes bio. Non seulement cet arbitrage enterre la promesse faite par Emmanuel Macron en 2017 de créer des paiements pour services environnementaux, mais il met sur le même niveau de soutien public la Bio et des démarches comme HVE (qui utilisent encore des produits de synthèse et n'ont jamais démontré leur efficacité sur le plan environnemental).
La FNAB met à disposition des agriculteurs et agricultrices bio un outil pour calculer ce qu'ils vont perdre dans la future PAC.
(…)
Communiqué de presse
Auxerre, le 4 mai 2021. Les premiers arbitrages viennent de tomber : avec une baisse moyenne de 132 euros par hectare et par an à partir de 2023, l'agriculture biologique serait la grande perdante des débats sur la reconnaissance des services environnementaux dans la version française de la future PAC. Où est donc le virage écologique promis par le président français dans les médias ?
Nous, paysans bio de Bourgogne Franche-Comté, ne pouvons accepter de voir les vertus de l'agriculture biologique oubliées et les ambitions de développement enterrées !
(…)
Et n'oubliez pas de signer la pétition #OnVeutLaBioPourTous !
Lundi 3 mai dernier a eu lieu la formation "Identifier les bonnes pratiques de stérilisation adaptées à mon exploitation et connaître la réglementation" à Savigny Poil Fol, au potager du Séguret. La dizaine de participants s'est tout d'abord plongée dans la pratique en observant l'autoclave présent et a pu s'initier à l'utilisation du thermobouton, ce qui a suscité dès le départ de nombreuses questions, répondues au fil de la journée par l'intervenante Françoise Morizot du CERD. Les participants sont repartis avec un peu de travail et l'envie d'approfondir le sujet autour d'une formation "hygiène" ou "étiquettage" !
Paris, 28/04/2021. 200 millions d'euros par an dans la PAC pour les services environnementaux rendus par les agriculteurs et agricultrices. C'était la promesse de campagne du candidat Macron à la présidentielle de 2017 Quatre ans plus tard, alors que les négociations PAC battent leur plein et qu'une nouvelle manifestation de la FNSEA contre les éco-régimes est attendue vendredi 30/04 à Strasbourg, les premiers arbitrages sont tombés, l'agriculture biologique perdrait 132 euros par hectare et par an.
Alors que les négociations autour de la prochaine PAC sont en cours, plusieurs médias de la presse quotidienne régionale (Sud Ouest, médias du groupe Ebra) ont publié une tribune signée de plus de 300 élu(e)s français pour demander à l'Etat de prendre sa part dans les efforts de transition alimentaire et agricole.
"L'Etat doit nous aider à prendre soin de nos concitoyen-ne-s et de nos territoires. La politique agricole en cours de négociation dessinera l'agriculture et l'alimentation des 10 prochaines années, nous ne pouvons plus nous permettre de perdre encore 10 ans dans la transition écologique agricole."
A l'initiative de la FNAB, cette tribune a été signée par des élu(e)s de toutes les familles politiques pour demander un soutien fort en faveur du développement de l'agriculture biologique dans la prochaine PAC.
"La transmission d'une ferme c'est délicat et complexe. C'est pourquoi ça vaut le coup de la préparer plusieurs années à l'avance"
Dans moins de 10 ans, la moitié des agriculteurs et agricultrices partent à la retraite : afin de répondre à l'enjeu fort du renouvellement des générations agricoles, BIO BOURGOGNE souhaite accompagner au mieux la transmission des fermes en agriculture biologique .
Pour cela, nous vous invitons à répondre à un court questionnaire (5 minutes, en cliquant ici sur ce lien) pour que nous puissions connaître votre situation, identifier vos besoins et les potentielles fermes à transmettre dans les prochaines années pour en informer des porteurs de projet.
Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter Laurine Jolis, chargée de mission Futurs Bio à BIO BOURGOGNE
Merci par avance de votre participation !
Le Printemps BIO, temps fort national de l'agriculture biologique, est un événement national coordonné par l'Agence Bio pour informer et sensibiliser le public à l'agriculture biologique. Dans toute la France, les acteurs du Bio se mobilisent pour informer et sensibiliser tous les publics à ce mode de production respectueux de l'environnement et du bien-être animal qu'est l'agriculture biologique.
Pour sa 22ème édition,
le Printemps BIO aura lieu du 13 mai au 13 juin 2021.
BIO BOURGOGNE, qui coordonne la campagne en région en partenariat avec les GAB départementaux, vous propose de se faire le relai des manifestations organisées en Bourgogne. Ils seront visibles sur la page dédiée du site de l'Agence Bio ainsi que sur le site internet "Le Portail de la Bio en Bourgogne" et la page facebook "La Bio en Bourgogne".
Pour tout renseignement complémentaire, n'hésitez pas à contacter votre animatrice/teur de GAB :
Lundi 12 avril, une quinzaine de maraîchers se sont retrouvés à Bussières (89) pour échanger sur leurs expériences visant à réduire le travail du sol en maraîchage bio. Pierre Cluzel, maraîcher installé depuis 2018, nous a accueilli sur son jardin et a présenté aux participants ses systèmes de cultures et ses outils auto-fabriqués notamment pour faciliter le semis et la plantation en non travail du sol. Chacun a pu partager avec les autres ses pratiques, ses astuces mais aussi s'exprimer sur les impasses et les limites qu'il rencontre (pression des rongeurs, disponibilité de la matière organique, ...). Un bilan positif pour cette première journée, qui engage à en prévoir de nouvelles !
Une soixantaine de parlementaires participaient le 7 avril - à l'invitation de leurs pairs - à un temps d'échange organisé avec la FNAB sur la place de la Bio dans la PAC. Alors que l'Allemagne va présenter au Bundestag son propre plan stratégique national sur l'agriculture, celui de la France ne sera pas débattu devant le Parlement avant sa transmission à la Commission européenne.
Le mercredi 24 mars, des agriculteurs et agricultrices sont venu·e·s des 4 coins de la Bourgogne pour visiter les 20 ha des vergers du Grillet menés en agriculture biologique depuis 5 ans. Augustin et Charles ont présenté leur outils de production aux visiteurs : trieuse/calibreuse, pressoir à jus, broyeur… et bien sûr les vergers de pommes, poires et cerises. Nous avons profité de la période de taille pour observer et s'essayer à la façon de tailler des deux arboriculteurs. Les échanges nombreux se sont clôturés par une dégustation de jus de pomme et poire.
La FNAB s'est mobilisée aux cotés d'organisation environnementales, de protection animale et des représentant-es d'éleveur-ses pour dénoncer l'introduction de la volaille issue d'élevage intensif dans les cantines scolaires !
En effet, un arrêté vient d'autoriser la volaille standard française à obtenir une certification environnementale de niveau 2, permettant ainsi à ces productions d'entrer dans les 50% d'alimentation durable pour la restauration collective de la loi Egalim.
Ainsi, tous les élevages intensifs de poulets peuvent désormais bénéficier d'un accès protégé au marché de la restauration collective “de qualité” en se targuant d'être “durable" ! Une aberration !
Un céréalier bio de Pasilly, a ouvert à la démonstration la plantation de plus de 2km de haie et d'un bosquet sur ses parcelles jeudi 18 février. Cette démonstration a suscité l'intérêt d'une dizaine d'agriculteurs du département de l'Yonne. Elle s'est déroulée en présence de Romuald Bardot de la SRPM qui a délivré les différents conseils pour une plantation réussie ainsi que de l'entreprise Naudet prestataire pour la plantation. Le projet de haie haut brise vent de l'agriculteur a été accompagné par Bio Bourgogne pour le choix des essences et de l'emplacement des arbres ainsi que pour le montage du dossier d'aide régionale à la plantation de haie : Bocage et Paysage
Le 16 et 17 février, une vingtaine d'agriculteurs de tout type de production ont suivi une formation pour définir le lieu d'implantation des haies et/ou agroforesteries ainsi que les essences d'arbres qu'ils et elles souhaitent planter à l'automne-hiver prochain. Sylvie Monier de Mission haie Auvergne et Romuald Bardot de la SRPM ont accompagné les agriculteur·rices dans leur projet.
Prochaine étape : commande groupée de plants et plantation à l'automne-hiver 2021
Le 8 et 9 février, une dizaine de maraîchers et maraîchères sont venu·e·s se former au pilotage de l'irrigation sur leur ferme avec l'intervention de Simon Cordier conseiller en irrigation au CRIIAM Sud (ancien ARDEPI). Après des rappels de notions d'hydraulique débit et pression, les éléments indispensables au dimensionnement du système d'irrigation ont été présentés : besoins en eau des plantes, surface à irriguer et temps d'irrigation maximum. Les participants ont pu discuter des avantages et inconvénients des différents matériels d'irrigation : goutte-à-goutte, asperseurs, micro-asperseurs... etc La deuxième journée de formation s'est clôturée avec la visite d'un système d'irrigation existant et des moyens de contrôler le bon fonctionnement du réseau.
François Belmont, du GAEC Belmont situé à Marandeuil (21) souhaite transmettre d'une façon collective, sa ferme. Le GAEC travaille aujourd'hui dans les grandes cultures et la production maraîchère, certifiées agriculture biologique depuis 2018.
François Belmont a à cœur de favoriser une installation collective sur ses terres. Son objectif serait d'installer plusieurs projets différents, solidaires entre eux pour sécuriser les installations et créer une dynamique sur le territoire. Il aimerait voir se créer un projet de paysannerie-boulangère (un bâtiment pourrait être aménagé en meulerie) mais des projets d'élevage (volailles, petits ruminants, etc) semblent aussi possibles avec le réaménagement des bâtiments, ainsi que la création d'un verger : noyers, pommiers, pruniers, etc. En bref de nombreux projets sont envisageables pour de la distribution de proximité et des activités viables. Un système de parrainage peut être envisagé si les porteurs ou porteuses de projet sont intéressés.
Afin de travailler sur le développement de la filière boeuf en agriculture biologique en Bourgogne, Coralie Barbery, étudiante en BTS Production Animale, a mis en place cette enquête sur les caractéristiques de la production et les enjeux de la filière.
Vous élevez des boeufs en bio ? Prenez quelques minutes pour répondre à cette étude pour décrire vos pratiques et faire connaître votre avis sur la filière. L'objectif est que cette étude puisse permettre à BIO BOURGOGNE d'utiliser ces résultats pour mieux accompagner cette filière.
Pour répondre à l'enquête, cliquez ci-dessous :
Si vous avez la moindre question, n'hésitez pas à contacter Coralie Barbery.
Merci par avance de votre participation !
L'édition 2021 du Salon international de l'Agriculture ayant été annulée, la Confédération paysanne a décidé de faire salon partout en France.
Du 27 février au 7 mars, les fermes du réseau sont ouvertes pour faire découvrir, au plus près du terrain, l'agriculture paysanne. Ces moments de rencontre, 100% paysans, seront l'occasion d'engager le débat avec les responsables politiques et les citoyen·ne·s, qui chaque année sont de plus en plus nombreux à se rendre au SIA. Quelle meilleure vitrine que le terrain et quel meilleur discours que nos pratiques ?!
Le premier comité stratégique de la Démarche RARES s'est tenu jeudi 28 janvier après-midi à Dijon.
Ce projet, soutenu par la région Bourgogne Franche-Comté et l'Europe rassemble des accompagnateurs des créateurs d'activités agri-rurales (les chambres d'agricultures, BIO BOURGOGNE, Semeurs du possible, Accueil Paysan Bourgogne, CIVAM Le Serpolet, CERD, FDFR89, PES21, ACTIVE 71, AgroSupDijon, Terre de Lien BFC) et des porteurs de projets.
L'objectif est de mettre en place une culture commune et une plus grande coopération entre les acteurs de l'accompagnement afin de placer au coeur de leur démarche les besoins de porteurs de projet multiactivités (productions agricoles, transformation, tourisme, artisanat, commercialisation en circuit court, etc.) pouvant rencontrer aujourd'hui des difficultés d'installation (techniques, juridiques, accès à l'information...).
Ce comité stratégique a été l'occasion de présenter à une assemblée d'acteurs diversifiés les enjeux de la Démarche et ses différentes actions sur 2021. Les discussions ont été riches sur les stratégies a adopter pour la suite. Vous pouvez suivre les différents évènements de la Démarche sur la page facebook.
James développe une activité de maraîchage et production de petits fruits en agriculture biologique en s'inspirant de la permaculture et de l'agroécologie, sur le site de la Ferme du Marault, mis à disposition par l'association Agropôle du Marault.
James est entré en espace test en janvier 2021 avec pour objectifs de se tester sur ses techniques de production, de développer un modèle économique basé sur de la vente en circuit court ainsi que de participer au développement d'un circuit pédagogique (biodiversité, alimentation, innovation agricole, etc.).
La création et le suivi de cet espace test agricole est soutenu par le Conseil départemental de la Nièvre, l'agglomération de Nevers, BIO BOURGOGNE, la Chambre d'agriculture de la Nièvre, l'Agropôle du Marault et Semeurs du possible.
Pour en apprendre plus sur les espaces tests agricoles, venez visiter le site de Semeurs du possible : semeursdupossible.com
Paris, 05/02/2021. Alors que commencent les tractations pour la prochaine politique agricole commune, qui dureront six mois, nous sommes bien loin des objectifs fixés lors des Etats Généraux de l'alimentation par le chef de l'Etat de 9% de surfaces agricoles biologiques au lieu des 15% annoncés pour 2022 et de 4,5% de produits biologiques en restauration collective au lieu des 20% promis.
La FNAB lance la pétition #OnVeutLaBioPourTous, n'hésitez pas à la signer et à la relayer !
Bonjour à toutes et tous !
Je suis Laurine JOLIS, la nouvelle recrue à BIO BOURGOGNE, en tant que chargée de mission Filières et territoires en Saône-et-Loire et Futurs Bio, basée à Cluny. Je travaille aux côtés d'Aline VUE sur les projets de filières et territoires en Saône-et-Loire. Et ce n'est pas tout, puisque je suis également chargée de mission Futurs Bio, pour travailler sur la transmission des fermes en agriculture biologique en Bourgogne.
Je suis fraîchement diplômée d'une école d'ingénieur agronome avec une spécialisation sur l'animation des projets de territoire en agriculture et alimentation, et je suis très enthousiaste à l'idée de participer au développement de l'agriculture biologique en Bourgogne.
Après ces premières semaines de démarrage, je suis disponible pour répondre à vos questions et curieuse de vous rencontrer. Alors, n'hésitez pas à me contacter !
Vous pouvez me joindre par mail : laurine(point)jolis(at)biobourgogne.org et par téléphone 06 31 19 48 40.
Au plaisir d'échanger avec vous très prochainement,
Laurine JOLIS
Stéphane Cordeau est chercheur à l'INRAE de Dijon et animateur de la plateforme CA-SYS (sans pesticides). Dans le cadre de ses recherches, il souhaite mettre en avant l'expertise des agriculteurs, et valoriser leur savoir sur les adventices.
Pour cela, il a réalisé une enquête sur la perception des adventices (aspects positifs et négatifs des mauvaises herbes) et vous propose d'y répondre. A ce jour cette enquête nationale par les acteurs de terrain a recueilli 1300 réponses.
Si vous souhaitez l'aider dans ses recherches, prenez le temps de répondre au questionnaire en cliquant ici, cela prendra 10 min à remplir et c'est anonyme
La commission arboriculture biologique de BIO BOURGOGNE qui a eu lieu le 14 janvier dernier a permis de recenser les attentes et actions des arboriculteurs du réseau bio en Bourgogne. Cette journée d'échanges entre arboriculteurs et arboricultrices étaient aussi l'occasion de visiter le verger de l'une d'entre eux : Le verger de l'abeille à Avosnes (21).
Les formations d'initiation à l'agroforesterie au sens large du terme : haies, arbres, alignement intra-parcellaire... ont suscité beaucoup d'intérêt avec la présence d'une trentaine d'agriculteurs et agricultrices le 19 et le 20 janvier dernier. La matinée Sylvie Monier de mission haie Auvergne et Romuald Bardot de la S.R.P.M. ont présenté les intérêts des arbres au niveau de l'effet brise-vent, de la lutte contre l'érosion, de la capacité épuratrice des ripisylves, de l'importance de la lutte auxiliaire, du cadre de vie et surtout de sa productivité (bois énergie, copeaux, litière...). L'après-midi était consacrée aux moyens de planter des arbres de façon durable au champ. La journée s'est clôturée par la visite d'une future parcelle plantée dans l'Yonne et par la visite d'une ferme ayant déjà plantée des haies il y a 2 ans en Côte d'or.
Contenu réservé aux adhérent.e.s des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes (GAB) de votre département.
Paris, 15/01/2021.
Ce matin, le ministre de l'agriculture et le président de Régions de France ouvraient officiellement les discussions sur le futur Plan stratégique national lors d'un Conseil Supérieur d'Orientation et de coordination de l'économie agricole (CSO) dédié. Ce CSO marque le début de 6 mois de négociations sur la déclinaison française de la prochaine PAC. En jeu notamment les conditions d'attribution du budget dédié au schéma environnemental (Ecoscheme). Alors que la Commission européenne affiche dans son Green Deal 2020 un objectif de 25% en 2030 de surfaces agricoles en bio, la France, elle, n'atteindra pas l'objectif fixé par Emmanuel Macron de 15% de surfaces Bio en 2022.
Le réseau bio de Bourgogne, BIO BOURGOGNE et les GAB départementaux,
les présidents, les élus et les salariés
vous présentent leurs meilleurs voeux.
La Région Bourgogne Franche-Comté reconduit, en 2021, le dispositif "Investissements en cultures maraîchères, de petits fruits et de plantes à parfum aromatiques et médicinales".
Pour en savoir plus sur le dispositif, rendez-vous à la page dédiée sur le site de la Région.
Pour déposer un dossier de demande de financements, rendez-vous sur la plateforme OLGA.
Contenu réservé aux adhérent.e.s des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes (GAB) de votre département.
La FNAB lance une enquête pour mieux connaître les usages du spinosad et de l'azadirachtine en maraîchage et arboriculture bio. Cette enquête vise à mieux cerner les usages qui sont faits de ces substances actives sur le terrain, et notamment à évaluer le degré d'impasse technique de ces usages. Elle vise également à identifier les différentes alternatives déjà mises en place dans les fermes.
Les questionnaires sont disponibles aux liens suivants :
Lundi 21 novembre après-midi, des éleveurs de la Nièvre ont participé à une démonstration de plantation de haie avec l'intervention de Romuald Bardot, technicien du bocage de la S.R.P.M. La plantation s'est déroulée dans le cadre de la formation "Intégrer des plantations de haies et agroforesteries" qui a démarré en février 2020.
Si vous êtes intéressés pour planter des haies ou agroforesteries, nous renouvelons la formation pour l'année 2021. Veuillez consulter notre agenda pour en connaître les dates et lieux : agenda de Bio Bourgogne
L'Agence Bio vous propose une nouvelle émission totalement interactive pour débattre de sujets d'actualité.
Mi-décembre, les maraîcher·ère·s bio des 4 coins de la Bourgogne, se sont retrouvé·e·s dans chaque département : Côte d'or, Nièvre, Saône-et-Loire et Yonne pour faire le bilan de la campagne 2020. Une dizaine de fermes dans chaque département ont pu échanger sur les évolutions de la production bio française et bourguignonne, les adaptations au climat toujours plus sec en été et les solutions mises en place pour lutter contre les maladies et ravageurs des cultures (altise, doryphores, pucerons, mildiou...).
Un guide complet pour gérer les adventices en culture biologique de légumes, tant en maraichage diversifié qu'en production légumière spécialisée.
Ce troisième tome vient compléter les deux premiers tomes du guide Produire des légumes biologiques. Il s'adresse :
Organisé par l'Agence Bio et le Crédit Agricole, ce concours a pour objectif de faire émerger et soutenir des initiatives exemplaires, innovantes et reproductibles de tous les acteurs de l'agriculture biologique.
Ouvert à tous les acteurs professionnels et à toutes les entreprises des filières biologiques, qu'ils soient producteurs, transformateurs, distributeurs ou associations, les candidats ont jusqu'au 28 janvier 2021 pour adresser leur dossier.
Récompenses : Un lauréat sera désigné dans chacune des 2 catégories ( Producteurs et Entreprises/Associations). Ils recevront chacun la somme de 6000 €.
2 “coups de coeur” du jury seront désignés et recevront la somme de 1500 € chacun.
Informations complémentaires : concours@agencebio.org Anne Basset 01.48.70. 48.35
Pour faire suite au webinaire "Intérêts et limites des couverts végétaux" organisé par le BIVB dans le cadre du projet DECOUVEG, des visites techniques ont été organisées dans chaque département. L'occasion d'échanger collectivement sur les essais mis en place par chaque organisme partenaire du projet. Les sessions de la Côte d'Or et de l'Yonne ont eu lieu les 3 et 4 décembre derniers. La visite en Saône et Loire a lieu vendredi 11 décembre prochain.
Pour visionner le webinaire avec la participation de BIO BOURGOGNE : cliquez-ici
Le deuxième bulletin technique élevage de 2020 est sorti, et sera envoyé aux adhérents du réseau bio qui y ont souscrit.
Au sommaire :
Contactez votre animateur/trice de GAB pour en bénéficier !
La première session de formation sur la taille respectueuse des flux de sève a eu lieu à Chablis avec un groupe dynamique et motivé. Une matinée théorique suivie d'une application sur le terrain sur jeunes et vieilles vignes à permis de répondre au mieux aux attentes de chacun.
Deux autres sessions auront lieu les 16 et 17 décembre respectivement en Saône et Loire et Côte d'Or.
Vous êtes porteur de projet agri-rural installé ou en parcours d'installation ? Vous n'êtes pas nécessairement issu du milieu agricole ou votre projet se fait hors cadre familial ? Votre projet repose peut-être sur plusieurs activités pas exclusivement agricoles (productions agricoles, accueil à la ferme, transformation, autre...) et/ou des valeurs particulières (familiale, économie sociale, coopératives, etc.) ?
Si vous répondez oui à une ou plusieurs de ces questions, votre expérience pourrait contribuer au travail du collectif de la Démarche RARES, dont fait partie BIO BOURGOGNE. Ce collectif compte des structures d'accompagnement, des chercheurs et des porteurs de projets agri-ruraux dont l'objectif est de favoriser la création et le maintien d'activités agri-rurales innovantes en Bourgogne Franche-Comté.
Contenu réservé aux adhérent.e.s des GAB via Les nouvelles de la bio ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice du Groupement des Agro-Biologistes (GAB) de votre département.
Réalisé en collaboration avec Interbio Franche-Comté, cet observatoire vous permettra d'apprécier l'évolution de l'agriculture biologique dans notre région.
Vous y retrouverez une analyse détaillée à l'échelle régionale et par secteur de production, qui illustre une dynamique de conversion qui est encore très encourageante cette année.
Retrouvez l'intégralité de la brochure sur la page dédiée aux chiffres de la bio.
Grippe aviaire : l'instruction technique encadrant les dérogations à l'obligation à la claustration ou la mise sous filets a été publiée le 24 nov 2020.
Les conditions de délivrance des dérogations à l'obligation de claustration ont été actualisées. De nouveaux documents doivent être utilisés pour présenter cette demande si celle-ci n'a pas déjà été faite.
Pour plus d'information, contacter votre GAB.
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Suite à la publication par la Cour des comptes d'un référé déplorant l'artificialisation des terres et constatant que la concentration des terres agricoles se poursuit, nos organisations exigent une politique foncière agricole efficace et une meilleure composition de l'instance nationale de gouvernance des Safer.
La FNAB a co-signé aux côtés de FOREBIO et de la Confédération paysanne un courrier à l'attention du ministère concernant les critères d'attribution de l'aide aux veaux bio.
Nous avons ainsi réitéré notre demande de l'an dernier de supprimer le critère de couleur. Cette demande a cette fois été appuyée par de récentes évolutions dans le contrôle de ce critère en abattoir, qui ont provoqué la perte de la prime pour de nombreuses carcasses (Lire le courrier pour plus d'informations).
Nous espérons que le critère de couleur sera supprimé déjà pour la campagne à venir, mais nous avons demandé qu'il le soit dès à présent.
Intervention de Yanick Loubet, maraîcher bio lors de la Conférence organisée par la Ville de Quetigny et BIO BOURGOGNE à l'occasion du Grand Marché Bio de Quetigny du 19 septembre 2020.
Suite à la détection d'un premier foyer d'influenza aviaire hautement pathogène en Haute-Corse, le Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation a décidé de relever le niveau de risque à "Elevé" sur l'ensemble du territoire national. Tous les éleveurs de volailles donc concernés par les implications détaillées ci-dessous (mesures de claustration ou mise sous filet, avec dérogation possible).
Les dispositions d'accès à la dérogation sont en cours d'évolution au niveau national.
N'hésitez pas à vous tourner vers le réseau bio si vous rencontrez des difficultés.
Le niveau de risque « Élevé » implique certaines mesures obligatoires sur tout le territoire national (Arrêté du 16/03/2016), dont la surveillance clinique quotidienne dans les élevages, et la mise en place de claustration ou protection des élevages de volailles par un filet avec réduction des parcours extérieurs pour les animaux (dérogation possible, voir ci-dessous).
Les éleveurs bio peuvent décider de claustrer les animaux, et doivent de fait demander une dérogation à leur organisme certificateur ; ou bien établir une demande de dérogation à la claustration en mettant en avant le cahier des charges biologique.
Cliquez sur le lien "+ d'info" pour connaître les implications réglementaires de chacun des choix et les démarches à conduire.
La formation initiation à l'acupuncture a pu se terminer par une journée de pratique en élevage, dans le secteur du Creusot (71). Les stagiaires ont manipulé les veaux atteints de diarrhées, et mobilisé leurs connaissances de la première journée pour appliquer un protocole à une vache suspectée d'avoir ingéré un corps étranger. La journée s'est terminée par l'étude de deux jeunes génisses à fortes caractéristiques (poil hirsute, arrêt du développement...), qui a rappelé l'intérêt de croiser les connaissances des médecines douces : homéopathie, médecine chinoise, acupuncture et ostéopathie, pour une approche globale.
Les 130 millions d'euros du plan de modernisation des abattoirs prévu par le ministère de l'agriculture ne répondent pas aux nombreuses exigences concrètes et aux attentes des salarié.es, des paysan.es et de la société civile : soutenir dans la relance les outils d'abattage adaptés à l'élevage de demain, tant en matière de conditions de travail, de relocalisation, que de protection animale. C'est une nouvelle occasion manquée de faire évoluer le secteur de l'abattage.
Deux ans après l'adoption de la loi EGalim1, un collectif de 28 syndicats et associations publie un bilan dont le constat d'échec est sans appel : la quasi-totalité des indicateurs est au rouge et des reculs sont à noter. Presque aucune des ambitions et bonnes intentions déclarées en grande pompe n'ont été suivies d'effet.
La journée d'information à destination des personnes souhaitant créer une activité maraîchère biologique dans l'Yonne a accueilli dix porteurs et porteuses de projet. Les participants et participantes ont pu échanger sur leurs interrogations à propos de l'installation en maraîchage bio avec la présence du maraîcher Jean Lalès, des conseillères du point accueil installation de la CA de l'Yonne et de la conseillère maraîchage bio de l'Yonne à Bio Bourgogne.
Le futur règlement bio, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2022, précise que les laits reconstitués contenant des matières d'origines végétales ne pourront pas être considérés comme du « lait naturel » et ne pourront pas être utilisés en bio pour l'alimentation des jeunes mammifères. C'est le cas de certaines poudres de lait actuellement certifiées et "utilisables en AB". Par contre, l'utilisation de lait en poudre non bio pour raison sanitaire, justifiée par une préconisation vétérinaire, n'est pas remise en cause jusqu'à présent.
Pensez à vérifier auprès de votre organisme certificateur que ce que vous utilisez pour l'alimentation lactée de vos jeunes animaux sera conforme au nouveau règlement. Dans le cas contraire, commencez à chercher une autre solution (lait maternel, lait de vache bio, poudre de lait bio conforme au cahier des charges 2022).
Une enquête en ligne vous sera prochainement proposée afin de dresser un état des lieux des pratiques et d'identifier les marges de manoeuvre pour trouver des solutions cohérentes, conformes au règlement, mais aussi techniquement et économiquement viables pour les éleveurs et éleveuses bio.
Source : Réseau FNAB / Image : FRAB Nouvelle Aquitaine
Paris, 19/09/2020. La Convention citoyenne pour le climat, qui a rendu ses conclusions définitives en juin 2020, a identifié le développement de l'agriculture biologique comme une action centrale pour aller vers « une agriculture à faible impact en gaz à effet de serre et à faible impact sur la biodiversité ». Dans leur proposition SN2.1.2 les citoyen-nes ont porté des demandes claires pour développer l'agriculture biologique dont la restauration de l'aide au maintien. Le président de la République s'est engagé fin juin 2020 à reprendre cette proposition. Le processus était très clair, le président s'est exprimé, maintenant il faut appliquer et agir.
Mercredi 16 septembre, les éleveurs de volailles se sont retrouvés à la Chapelle Thècle pour la visite de la Ferme des Palisses, un système conduit en bio depuis 1988.
Les éleveurs ont échangé sur la conduite biologique des volailles de chair et des poules pondeuses, la gestion préventive de leur santé et l'autonomie alimentaire.
Une fermoscopie est disponible, contactez votre conseiller BIO BOURGOGNE si vous souhaitez la consulter.
Par ailleurs, l'équipe élevage de BIO BOURGOGNE organise régulièrement des visites de fermes d'élevage (bovin, ovin, caprin, volailles...) dans toute la région, pour créer du lien entre les éleveurs et partager entre collègues sur vos pratiques. Consultez le programme technique pour connaître les prochaines visites proches de chez vous !
Le mardi 15 septembre, une dizaine de maraîcher·ère·s et horticulteur·rice·s sont allé·e·s à la rencontre des auxiliaires de cultures présents dans les légumes des jardins de la Croisière, lors d'une matinée technique co-organisée avec la CRA BFC et le GRAB (Groupe de recherche en agriculture biologique) dans le cadre du projet DEPHY : COSYNUS (Conception de Systèmes maraîchers favorisant la régulation Naturelle des organismes Nuisibles).
Les conseillers polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE vous invitent à prendre connaissance du calendrier des actions techniques et des formations mises en place pour l'automne 2020 et l'hiver 2021.
Consultez le programme technique en ligne
Pour plus d'informations (invitations détaillées) et pour accéder aux formulaires d'inscription en ligne, consultez l'Agenda de BIO BOURGOGNE
La Commission européenne a annoncé ce vendredi 4 septembre 2020 reporter d'un an l'entrée en vigueur du nouveau règlement bio européen. Le projet de texte modifiant le règlement de base 2018/848 doit encore être approuvé par les Etats membres et le Parlement.
Les agriculteurs-rices bio devront donc appliquer ces nouvelles règles au 1er janvier 2022 et non au 1er janvier 2021 (comme initialement prévu)
En 2016, la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages a créé un nouvel outil juridique, permettant aux propriétaires fonciers de faire naître sur leur terrain des obligations durables de protection de l'environnement : l'obligation réelle environnementale (ORE). Pour en savoir plus, vous pouvez consulter cette petite vidéo explicative.
4 ans après la création de l'ORE, la Fédération des Conservatoires d'Espaces Naturels (FCEN) et de la Fédération Nationale d'Agriculture Biologique (FNAB) souhaitent réaliser un inventaire des Obligations Réelles Environnementale signées ou en projet en France.
A cette fin, la FNAB et la FCEN ont élaboré conjointement le questionnaire disponible ici.
Cette enquête s'adresse aux cocontractants ou futurs cocontractants d'une ORE, dont vous pouvez faire partie. Si c'est le cas, nous vous remercions vivement de votre contribution en participant à cette enquête.
Les résultats seront analysés et donneront lieu à une restitution.
Les tueries qui pratiquent la transformation bénéficient jusqu'à 2021 d'une dérogation temporaire à l'agrément CE.
Le réseau s'est mobilisé pour défendre la pérennisation de cette dérogation spécifique à la transformation à l'échelle européenne. Pour cela, le ministère a besoin de prouver à la Commission européenne que le secteur de la volaille fermière est source d'emplois et de dynamiques territoriales et a besoin de ces tueries qui transforment.
Les DD(CS)PP vont envoyer à tous les éleveurs possédant une tuerie un questionnaire en ligne sur leur activité. Le ministère s'est engagé à ne pas utiliser ces réponses à d'autres fins que la pérennisation de cette dérogation.
La Confédération Paysanne et l'ANAFIC* appellent les éleveurs de volaille fermière à répondre à cette enquête pour démontrer à l'administration que l'aviculture fermière et indépendante est un secteur économique de grande importance.
* ANAFIC : Association nationale de l'aviculture fermière indépendante et citoyenne, regroupant la Confédération paysanne, le Modef, des associations de producteurs, et des associations de consommateurs.
Source image : mon-abattoir.com
La nouvelle réglementation applicable au 1er janvier 2021 comprend une modification des règles sur l'attache des bovins.
Pour rappel, la dérogation autorisant l'attache des bovins l'hiver prévoit 3 conditions cumulatives : accès au pâturage en période de pacage, accès au plein air deux fois par semaine quand l'accès au pâturage n'est plus possible, et ferme de petite taille.
La nouvelle réglementation précise la notion de "petite ferme", en tenant compte du nombre maximal d'animaux présents sur la ferme. Ainsi, à partir du 1er janvier 2021, la dérogation sera accordée uniquement aux fermes de moins de 50 animaux (en décomptant les jeunes).
Lundi 27 juillet dernier, la ferme aux cailloux a ouvert les portes de ses serres et de son plein champ, pour une visite technique en maraîchage bio orientée sur l'ergonomie au travail. Après la présentation de la ferme et de la conduite des cultures en place, par Laurent, maraîcher de l'exploitation, les participant·e·s de la journée on pu tester le matériel Toutilo. L'usage de ce porte-outil et porte-personne à motorisation électrique a été testé sur le désherbage et buttage de poireau, la récolte de haricots, ainsi que la plantation de salade.
Paris, le 01/07/20.
Après les retards de paiements, la suppression des aides au maintien à l'agriculture biologique, la FNAB et la Confédération paysanne s'allient aujourd'hui pour défendre les producteurs bio faisant l'objet de demandes infondées de remboursement d'aides. La FNAB et la Confédération paysanne ont engagé contre l'Etat une « action en reconnaissance de droit ». Si cette procédure juridique aboutit, elle devrait permettre à tous les paysan-ne-s bio injustement lésés de se voir reconnaître le droit de toucher les aides qui leur sont dues.
A lire, le communiqué de presse diffusé par BIO BOURGOGNE en juin 2020 concernant la Vitrine des bio de Bourgogne !
N'hésitez pas à vous inscrire sur la Vitrine si ce n'est déjà fait, pour accroître votre visibilité et augmenter vos ventes en direct ! Les consommateurs/trices sont à la recherche de producteurs bio locaux.
Le Clos de Rochy, ferme pionnière dans l'arboriculture biologique du département de l'Yonne, a ouvert ses portes mardi 9 juin, pour une visite de ses vergers. La dizaine de participant·e·s à cette matinée technique a pu découvrir les vergers piétons de pommes à couteau et de poires, ainsi que les prés-vergers de pommes à cidre. Les échanges entre arboriculteur·rice·s bio de la région ont été nombreux...
Suite aux dernières annonces du Gouvernement, les équipes de BIO BOURGOGNE ont pu reprendre leurs activités impliquant des rencontres physiques (formations, visites techniques, …), sous réserve du respect des gestes barrières et de la distanciation physique.
Nos bureaux restent fermés jusqu'à nouvel ordre mais les salariés restent joignables par téléphone portable professionnel et par e-mail aux coordonnées habituelles.
Alors n'hésitez pas à faire appel à nos services spécialisés en Agriculture Biologique !
Printemps Bio, présentation des chiffres de la bio, appel à projet 21 du Fond Avenir Bio, … des rendez-vous à ne pas manquer à retrouver ici.
Bonne lecture !
En raison de la pandémie du COVID-19, des événements organisés habituellement au mois de juin, ont été reportés.
C'est le cas de la Fête du Lait Bio, initialement prévue le dimanche 7 juin et de la campagne nationale du Printemps bio (coordonnée par l'Agence Bio, 1ère quinzaine de juin).
L'Agence Bio prévoit une communication forte sur la bio début octobre. Toutefois, elle continuera de relayer sur son site et sur les réseaux sociaux les manifestations qui seront organisées en régions pendant la période estivale.
N'hésitez pas à nous tenir informés des événements que vous aviez prévu d'organiser à l'occasion de ces campagnes, en contactant votre animateur/trice de GAB :
Nous pourrons ainsi communiquer sur vos événements tout au long de l'année, via nos deux sites internet (BIO BOURGOGNE et BioBourgogne Vitrine), nos pages Facebook, ainsi que le bulletin Consom'Actions (diffusé à plus de 2 500 abonnés).
Des chercheurs de l'INRAE et de Montpellier Supagro réalisent une étude sur les petites fermes et souhaitent avoir des remontées du terrain. Ils travaillent sur la définition d'aides spécifiques adaptées pour les petites fermes.
Voici l'enquête : https://web.supagro.inra.fr/analyse-aidesagricoles
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Dans le même temps, la surveillance de la mortalité de l'avifaune sauvage maintenue malgré le contexte Covid-19 actuel, n'a pas permis à ce jour de détecter de cas en France.
Il est cependant essentiel de maintenir la vigilance sur les signes cliniques dans les élevage pouvant laisser suspecter l'influenza.
L'apparition des signes cliniques suivants, pas nécessairement associés à une mortalité, doit également inciter à inclure l'influenza aviaire dans la mise en œuvre du diagnostic différentiel : chutes de ponte (éventuellement associées à une altération de la coloration ou de la qualité de la coquille), signes neurologiques, respiratoires, cutanés (œdème, congestion, hémorragies) ou digestifs.
Après sa récente consultation, le Conseil Régional de Bourgogne - Franche-Comté supprime la possibilité de verser l'aide au « Maintien » en agriculture biologique. Notre réseau bio, rejoint par d'autres organisations agricoles et par les associations environnementales et de consommateurs, souhaite exprimer publiquement son incompréhension.
Pour son premier déplacement dans le monde agricole depuis le début de la crise du COVID-19, le Président de la République a choisi de valoriser le modèle agricole le plus déconnecté du monde vivant ; un modèle aseptisé, artificialisé, où il y a plus de béton que de terre, où les fruits et les légumes sont chauffés toute l'année. Un modèle qui pourtant devrait aujourd'hui se remettre en question, à l'aune de ce que l'on comprend des pandémies, mais aussi du rôle que l'agriculture a joué et jouera encore dans les crises sanitaires et écologiques, passées et à venir.
Pour consulter ou télécharger l'Observatoire régional de l'agriculture biologique 2019 sur les données 2018, cliquez ici ou rendez-vous sur la page dédiée aux chiffres de l'AB en Bourgogne.
Pôle Emploi a mis en place une plateforme officielle dédiée aux secteurs d'activité et entreprises jugés prioritaires, dont l'agriculture. La FNAB est partenaire de cette initiative.
Retrouvez les documents ressources afin de mettre en place les mesures nécessaires en termes d'organisation du travail sur vos fermes, avec en particulier une synthèse du cadre légal et sanitaire des recrutements, ainsi que le lien vers la plateforme de Pôle Emploi en cliquant sur le lien ci-dessous "plus d'infos".
Vous êtes producteur/trice et souhaitez convertir vos terres en bio ?
Vous souhaitez demander une réduction de la période de conversion ?
Votre certificat bio arrive à échéance ?
Vous souhaitez faire certifier une nouvelle activité bio ?
Le site Produire bio de la FNAB apporte des réponses à vos questions concernant la certification bio en période de confinement.
Nous recevons des appels et demandes de consommateurs/trices pour s'approvisionner localement...
Contenu réservé à nos adhérent.e.s ! Pour adhérer, contactez l'animateur/trice de votre Groupement départemental d'Agro-Biologistes (GAB).
En cette période de crise sanitaire et de confinement, beaucoup de consommateurs/trices se tournent vers un approvisionnement local et bio.
La Vitrine interactive des Bio de Bourgogne vous permet de communiquer largement sur vos produits disponibles en vente directe ou en circuits courts auprès des consommacteurs/trices ! Nous renvoyons les demandes de produits locaux et bio vers la Vitrine.
L'ensemble des GAB de Bourgogne (GABNi, GABY, GABSeL et GAB21) regrettent la mesure prise d'interdire les marchés de plein vent. Celle-ci nous semble inadaptée à nos marchés de campagne et de petites villes. Nous sommes convaincus qu'il est possible d'organiser les marchés de manière à respecter les gestes barrières, au moins aussi bien que dans les grandes et moyennes surfaces.
Pour soutenir nos adhérents, nous avons envoyé un courrier aux différentes associations départementales des maires pour les encourager à maintenir les marchés de plein vent ouverts. Nous avons aussi proposé aux producteurs plusieurs alternatives pour la commercialisation de leurs produits dans le respect des règles sanitaires en vigueur pour lutter contre la propagation du virus.
Si vous souhaitez être informé.e des possibilités de commercialisation du réseau bio de Bourgogne, réservées à ses adhérent.e.s, contactez l'animateur/trice du GAB de votre département pour adhérer !
Retrouvez ici le communiqué de presse de la Fédération Nationale d'Agriculture Biologique et de la Confédération Paysanne, auquel s'associent les Groupements des AgroBiologistes de Bourgogne, en réaction à la fermeture des marchés de plein air.
Vous souhaitez commercialiser vos produits aux restaurants collectifs de la région ?
Rejoignez l'association Manger Bio Bourgogne Franche-Comté, un outil 100% coopératif aux mains des producteurs. Ouverte à tous, elle permet la reconnexion entre l'offre locale et les restaurants collectifs de la région.
L'activité commerciale a débuté en janvier 2020 et les agriculteurs souhaitant proposer leurs produits et enrichir le catalogue sont les bienvenus. N'hésitez pas à prendre contact !
L'activité est bien évidemment quasiment à l'arrêt en cette période, mais il s'agit d'être prêt.e pour la reprise !
Les membres du Groupe 30 000 Sapins de Noël poursuivent leur travail pour améliorer leurs pratiques. La semaine dernière, avoir avoir visionné collectivement les résultats de leurs diagnostic et bilan IFT, ils ont pu visiter une exploitation conduite en agriculture biologique depuis plus de 5 ans.
L'après-midi a été support d'échanges (techniques de taille) et de partages autour des questionnements propres à la conduite biologique (gestion de l'enherbement, couleur des sapins, travail du sol et itinéraire technique, gestion des ravageurs et maladies etc...)
La Région adapte son territoire au changement climatique, en préservant la biodiversité qui est au cœur de ses priorités.
Le conseil régional apporte son soutien aux initiatives des collectivités, des associations et des particuliers pour la sauvegarde des variétés fruitières anciennes, la restauration et la plantation de haies bocagères, d'arbres et de bosquets.
L'Association des Grands Jours de Bourgogne a pris la décision d'annuler l'ensemble des dégustations prévues la semaine du 9 au 13 mars en raison de l'épidémie du Covid-19 (Coronavirus).
La dégustation des Bio-Rencontres, organisée le mardi 10 mars au Domaine du Clos Frantin, à Nuits-Saint-Georges, est suspendue.
Cette décision, en cohérence avec la suspension des Grands Jours de Bourgogne, vient d'être prise par le comité d'organisation de BIO BOURGOGNE et en prévention de l'évolution rapide de la pandémie de coronavirus. Le comité d'organisation souhaite garder un principe éthique et moral par rapport à l'état sanitaire de l'ensemble des participants.
Le comité d'organisation espère pouvoir reporter cette manifestation. L'association des Grands Jours de Bourgogne se donne un mois pour décider de la suite à donner.
Contenu réservé à nos adhérents, pour adhérer contactez l'animateur.trice de votre département.
BIO BOURGOGNE recrute un conseiller spécialisé élevages, qui aura la responsabilité du service Élevages de l'association.
Travailler pour BIO BOURGOGNE, c'est rejoindre une équipe dynamique d'une vingtaine de personnes au service du développement de l'Agriculture biologique.
Nous recherchons une personne expérimentée. Prise de poste entre mai et septembre, candidatures à envoyer avant le 13 mars.
Paris, le 06/02/20. Alors que les bénéfices économiques, environnementaux et sociaux de l'agriculture biologique ont été démontrés et chiffrés par les scientifiques, alors que la Cour des comptes épingle la non efficacité des politiques de réduction des produits phytosanitaires, alors que le Sénat qualifie le plan Ambition Bio de communicationnel[3], le ministère de l'agriculture poursuit sa politique et relègue l'agriculture biologique au rang de variable d'ajustement de la future politique agricole commune (PAC), aux côtés d'autres mesures qui n'ont pas prouvé leur efficacité.
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Vous êtes adhérent à votre GAB départemental ?
Si oui, vous connaissez certainement l'existence des commissions spécialisées de BIO BOURGOGNE et leur rôle essentiel pour faire remonter les problématiques et les besoins des agriculteurs bio, par secteur de production, au niveau régional et national.
Elles permettent également de mettre en place une programmation d'actions la plus proche possible de vos besoins !
Nous sommes donc à la recherche d'agriculteurs intéressés pour faire partie de cette commission. Tous les profils sont bienvenus : pas besoin d'être expérimenté en bio ou d'être au fait de l'actualité réglementaire !
Le réseau bio de Bourgogne, BIOBOURGOGNE et les GAB départementaux, les présidents, l'ensemble des élus et des salariés vous présentent leurs meilleurs voeux.
Cette journée a rassemblé une vingtaine de participants, dont certains étudiants en CAPA Maraîchage du LEGTA de Challuy ou en BPREA au CFPPA du Morvan. Le matin, les échanges en salle ont permis de présenter le métier de maraîcher, les conseils à l'installation, le contexte règlementaire, notamment autour du cahier des charges en agriculture biologique. L'après-midi, les participants ont pu visiter la ferme de Guillaume Debeer, maraîcher installé à La Baratte à Nevers, et échanger avec lui sur son parcours à l'installation et son activité aujourd'hui.
La FNAB réagit à l'annonce de la hausse des ventes de produits phytosanitaires en 2018 dans son communiqué de presse du 8 janvier, téléchargeable ici.
L'ADENY et YNE (Yonne Nature Environnement) ont réalisé de courtes vidéos pour illustrer un projet de cantine bio et le travail de différentes fermes bio et de la région.
Vous êtes éleveur bio en Bourgogne-Franche-Comté de volailles et/ou de porcs ?
BIO BOURGOGNE et Interbio Franche-Comté vous proposent de répondre à une enquête qui nous permettra d'établir un annuaire régional des opérateurs et fournisseurs qui travaillent avec les éleveurs bio.
La synthèse des réponses permettra d'établir un carnet d'adresses détaillé, qui sera fourni sur demande auprès de BIO BOURGOGNE.
Répondre à l'enquête monogastriques
Comptant sur votre participation afin d'établir un outil d'intérêt collectif, le plus complet possible.
Deux formations sur la biodiversité des vignes ont été organisées les 21 et 28 novembre, respectivement à Beaune et à Chablis, avec l'intervention des LPO Côte-d'Or et Saône-et-Loire et LPO Yonne. Ces deux journées ont rassemblé 13 professionnels et ont permis d'identifier les éléments pouvant favoriser la faune et la flore sauvage dans le vignoble.
Ce guide présente ce qui fait de l'agriculture biologique un partenaire de la biodiversité avant de donner des réponses à la question "Comment les collectivités locales peuvent-elles favoriser une agriculture favorable à la biodiversité ?".
Il est accompagné de 10 fiches qui présentent des expériences concrètes portées par des agriculteurs, des collectifs agricoles et des collectivités locales.
Pour consulter le guide cliquez ici.
Pour consulter les 10 fiches expériences cliquez ici.
L'Observatoire Régional de l'Agriculture Biologique en Bourgogne-Franche-Comté 2019 (chiffres 2018) est paru. Réalisé à partir des données collectées par BIO BOURGOGNE et Interbio Franche Comté, et avec la participation de la Chambre Régionale d'Agriculture pour le focus "installation", cet observatoire présente les chiffres de la bio au 31 décembre 2018 pour la grande région, et leur analyse. A retrouver sur la page dédiée aux chiffres de la bio.
Pour lire le communiqué de presse, cliquez ici.
Retrouvez les actualités de BIO BOURGOGNE par secteur de production sur Facebook :
BIO BOURGOGNE Viticulture
BIO BOURGOGNE Grandes cultures
BIO BOURGOGNE Maraichage
BIO BOURGOGNE Élevage
La Bio en Bourgogne : évènements et développement de la bio dans notre région
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Le dossier de presse « Etat des lieux du bio en restauration hors domicile. Un an après la promulgation de la loi EGalim » vient de paraître, suite à la conférence de presse de l'Agence BIO qui s'est tenue ce lundi 18 novembre 2019.
L'INAO a souhaité retranscrire dès maintenant ce changement dans le guide de lecture du règlement bio.
Pour connaître la nouvelle application de la réglementation, cliquez sur "Plus d'infos".
Malgré la position de la FNAB (Fédération Nationale d'Agriculture Biologique), l'application de la réglementation sur les bâtiments en élevage porcin va changer (courrier présentant le détail des actions syndicales entreprises par la FNAB depuis fin 2017).
La filière porc bio (FNAB, INAPORC, FOREBIO, COOP DE FRANCE, IFIP) a rencontré la directrice de l'INAO, et le Ministère de l'Agriculture, le 1er octobre 2019 pour établir un calendrier d'adaptation des bâtiments.
BIO BOURGOGNE s'est associée à Féder Eleveurs Bio pour inviter les éleveurs à la réflexion autour de la construction d'une micro-filière qui valoriserait localement les veaux bio. Après une après-midi d'échanges, voici ce qui en est ressorti :
Le collectif d'éleveurs proposerait en circuits courts un veau rosé, bio et local, répondant aux critères suivants :
En bio, les veaux sont rosés : accepter la couleur, c'est favoriser le bien-être animal et la rémunération de l'éleveur !
Pour que les prairies temporaires puissent être aidées au titre de l'aide à la conversion bio à hauteur de 300 €/ha (catégorie "cultures annuelles"), vous devez respecter deux conditions :
- au moins une année de culture annuelle (et non de gel !) sur les 5 années d'engagement bio,
- les prairies temporaires doivent être composées d'au moins 50% de légumineuses lors du semis.
Cas les plus urgents : les agriculteurs passés en bio en mai 2016 qui n'ont pas encore implanté de cultures annuelles sur certaines parcelles jusque là en prairies temporaires. La campagne actuelle est la dernière leur permettant de respecter leurs engagements.
N'hésitez pas à partager cette information sur le terrain et à contacter vos conseillers BIO BOURGOGNE / animateurs de GAB pour un appui !
Cet automne, les éleveurs bio ont eu l'occasion de se retrouver pour échanger sur leurs pratiques et sur les évolutions de leur métier dans le contexte climatique et politique local.
Point commun entre tous : la recherche de nouvelles solutions pour s'adapter au contexte local :
Philippe Camburet, Président de BIO BOURGOGNE, a été reçu par France Bleu Auxerre le 26 septembre dernier pour une émission sur le thème "Le bio a-t-il vraiment tout bon ?".
Ce concours qui a pour objectif de faire émerger et soutenir des initiatives exemplaires, innovantes et reproductibles de tous les acteurs de l'agriculture biologique.
Ouvert à tous les acteurs professionnels et à toutes les entreprises des filières biologiques, que vous soyez producteurs, transformateurs, distributeurs ou associations, vous pouvez adresser votre dossier jusqu'au 20 décembre 2019.
Récompenses : Un lauréat sera désigné dans chacune des 2 catégories (Producteurs et Entreprises/Associations). Ils recevront chacun la somme de 6000 €.
Nouveauté 2019 : 2 “coups de coeur” du jury seront désignés et recevront la somme de 1500 € chacun.
BIO BOURGOGNE organise régulièrement des journées de rencontre entre (futurs) éleveurs bio. La matinée est consacrée à des échanges sur des thèmes d'actualités et les questions des éleveurs présents. L'après-midi, nous visitons la ferme des éleveurs accueillant la journée.
Mercredi 2 octobre, une petite dizaine d'éleveurs se sont réunis à Arnay sous Vitteaux au GAEC de la Prairie, chez Sarah et Jean-François Lallemant.
L'équipe élevage de BIO BOURGOGNE a le plaisir de vous présenter le programme technique polyculture-élevage des prochains mois :
Programme détaillé Synthèse une page
NOUVEAUTE : pré-inscriptions avant le 1er novembre
Afin de répondre au mieux à vos attentes, nous vous proposons une consultation en ligne qui ne vous prendra que quelques minutes afin de fixer les lieux et périodes des différentes formations à venir cet automne et cet hiver.
En vous pré-inscrivant (sans engagement de votre part), vous nous permettez d'adapter le nombre de sessions de chaque formation et de les localiser à l'endroit le plus adapté.
N'hésitez pas à cocher plusieurs options par formation !
A la demande d'apiculteurs et d'agriculteurs, nous souhaitons faciliter la mise en lien des uns et des autres.
Cela permettrait aux apiculteurs de mettre leurs ruches à l'abri des insecticides, trouver de nouvelles ressources pour leurs abeilles et aux agriculteurs de bénéficier de la présence de pollinisateurs dans leurs parcelles (voir de miel...)
Si vous êtes apiculteur ou si vous souhaitez accueillir des ruches sur vos parcelles bio, merci de prendre 2 minutes pour répondre à cette enquête en ligne avant le 1er novembre 2019.
Cela nous permettra ensuite de mettre en relation les partenaires potentiels !
A noter : cette enquête a déjà été menée en 2018 en Bourgogne, nous souhaitons l'élargir aujourd'hui à la grande région. Même si vous avez déjà participé l'année dernière, n'hésitez pas à y répondre à nouveau pour nous permettre de mettre à jour notre listing.
Depuis le 30 mai 2018, le texte de base du nouveau règlement bio a été publié. Cet article donne les grandes lignes des changements à venir. Actuellement, la phase des négociations pour les actes secondaires se poursuit pour définir plus précisément les règles de production, d'étiquetage, de contrôles. Le réseau FNAB est fortement mobilisé dans ces négociations pour garantir un label bio respectant les fondamentaux de la bio.
Retrouvez les détails dans l'extrait du Bulletin CAB des Pays de Loire : Bulletin CAB N°128 (Avril 2019)
Sources : CAB Pays de Loire / Image Natexo
Depuis 2 ans, BIO BOURGOGNE entretient des liens avec les producteurs de sapins de Noël du Morvan, qui s'intéressent au mode de production biologique.
Avec l'appui de l'Association Française du Sapin de Noël Naturel (AFSNN), un groupe de 14 producteurs s'est constitué autour de la question de l'amélioration des pratiques. Depuis cet été, les travaux sont lancés pour faire émerger un groupe 30 000 visant à les accompagner dans la recherche de solutions pour se passer des pesticides, controversés pour cette culture emblématique du Massif du Morvan.
Ce groupe est ouvert à tous les producteurs de sapin qui s'intéressent de près ou de loin au changement de pratiques.
Vendredi 26 Juillet : le groupe DEPHY Côte Chalonnaise animé par BIO BOURGOGNE proposait une matinée technique autour de 2 axes : le travail de l'intercep et la réduction des doses de cuivre.
Au programme de la démonstration d'outils : Alain Charleux et Baronne pour la Traction équine, l'équipe de de chez Richy pour présenter les interceps mécanique Vitimir et un montage de chez Barh disques émotteurs/étoiles de binage, le domaine Ninot avec ses interceps déca de chez Braun et la présentation par Xavier Moissenet du Cultivion de chez Pellenc (bineuse éléctrique).
En fin de matinée, le caveau de la chapelle de Mercurey nous a accueilli (à l'ombre!) pour discuter réduction des doses de cuivre et pilotage des traitements avec l'OAD Promété, avec un retour d'expérience sur l'expérimentation menée chez Roelof Ligtmans depuis deux ans. Cette année, dans la modalité Promété = 3 traitements et 800 g de cuivre => Encourageant pour la suite!
La petite pluie du matin n'a pas refroidi les viticulteurs qui se sont déplacés nombreux! Plus de 40 personnes sont venues échanger et partager ensuite le verre de l'amitié.
Merci à tous les intervenants et tous les participants pour cette belle matinée!
La formation "Conduite technique des légumes d'été en agriculture biologique" organisée par BIO BOURGOGNE s'est déroulée lundi 8 juillet 2019 à La Baratte à Nevers. Les témoignages des maraîchers présents et l'observation des légumes cultivés par le Potager d'Ici et la Baratt'ABio ont permis d'illustrer les propos de l'intervenante Catherine Mazollier, conseillère maraîchage au GRAB.
Plusieurs thèmes ont été abordés : gestion de l'irrigation, maîtrise du climat sous les tunnels, variétés cultivées, itinéraires techniques. Nous avons aussi passé du temps à observer à la loupe les ravageurs et les auxiliaires sur les cultures de concombre, courgettes, aubergines, entre autres, pour apprendre à les identifier.
L'été s'annonce encore une fois chaud et sec, et les nappes phréatiques sont loin d'avoir été remplies cet hiver.
Il est indispensable d'anticiper dès maintenant pour éviter la flambée des prix : la solidarité entre producteurs bio, promue par notre réseau, est indispensable !
BIO BOURGOGNE met des outils à votre disposition pour favoriser les échanges entre producteurs.
Depuis quelques mois maintenant, le réseau bio n'a de cesse de porter les revendications des éleveurs de porcs plein air pour une mise en place raisonnée de la biosécurité.
Des visites d'élevages bio ont été organisées par la FNAB afin de présenter les solutions pouvant être mises en place pour éviter le contact "groin à groin" entre sangliers et cochons d'élevage (ce contact favorisant la transmission de la peste porcine africaine).
BIO BOURGOGNE et INTERBIO Franche-Comté ont écrit à la région pour demander qu'une enveloppe financière soit dédiée aux aménagements obligatoires.
Une équipe de chercheurs du CNRS, de l'Inra et de La Rochelle Université vient de montrer pour la première fois que l'agriculture biologique profite aux colonies d'abeilles mellifères en particulier pendant la période de disette alimentaire à la fin du printemps. L'équipe de recherche a analysé six années de données collectées dans le cadre d'un dispositif, unique à l'échelle européenne, de suivi des abeilles domestiques. Cette étude est parue dans Journal of Applied Ecology le 26 juin 2019.
Retrouvez ici l'intégralité du communiqué de presse de la FNAB et de la Confédération paysanne.
En cette fin de printemps, il y a du changement en Saône et Loire ! Pour rappel, Marine PHILIPPE a quitté l'équipe depuis quelques mois, remplacée temporairement par Morgane LE BRIS.
En mai, l'équipe technique se renforce avec l'arrivée de Lola JEANNINGROS, anciennement animatrice et conseillère dans la Nièvre, qui se consacrera désormais au conseil en polyculture-élevage depuis Cluny.
N'hésitez pas à prendre contact avec elle si vous souhaitez organiser un rendez-vous individuel sur votre ferme !
L'ensemble des prestations BIO BOURGOGNE seront développées sur le territoire :
Le guide "Les Chemins de la bio en Bourgogne" vient de paraître. Cette nouvelle édition rassemble les coordonnées des producteurs qui souhaitent vous faire découvrir leurs produits et leurs activités, ainsi que la liste des AMAP près de chez vous.
Edité à 10 000 exemplaires, il est largement diffusé auprès des offices de tourismes, les magasins bio, lors des événements auxquels participe le réseau bio, et sur les lieux de vente des producteurs.
BIO BOURGOGNE tiendra son Assemblée Générale le mercredi 17 avril à Saint Brisson (Maison du Parc du Morvan).
Moment privilégié de l'année pour échanger, la journée se déroulera en deux temps :
puis intervention de Samuel Féret, gestionnaire de projets au Centre International de Hautes Etudes Agronomiques Méditerranéennes à Montpellier sur le thème « La place de l'Agriculture Biologique dans la nouvelle Politique Agricole Commune »
suivie d'échanges et de débat avec l'assemblée.
Au sommaire : interview de Philippe Camburet, président de l'association et le témoignage de Christophe Charrier, éleveur laitier récemment passé en bio.
Pour lire l'article paru dans le numéro du 1er mars de Terres de Bourgogne, c'est ici.
L'équipe de conseillers spécialisés de BIO BOURGOGNE est à votre disposition pour vous accompagner dans votre réflexion, n'hésitez pas à nous contacter, nous pouvons vous proposer un premier RDV gratuit en ferme.
La formation "Fabriquer une huile bio et artisanale de qualité" organisée par BIO BOURGOGNE s'est déroulée jeudi 7 février à Vézelay. Vous avez été un grand nombre à participer et manifester votre intérêt sur ce sujet passionnant. L'objectif de la journée était de découvrir ou d'optimiser ses techniques de fabrication d'huile à la ferme pour obtenir un produit de qualité. La matinée a été consacrée à la conduite des cultures d'oléagineux en AB et à l'optimisation de leur itinéraire technique en vu d'une transformation en huile, pour améliorer la qualité de cette dernière. L'après-midi, une huilerie artisanale bio a été visitée à Saint-Père. Des points techniques tels que le choix des presses, la conservation, le stockage, le conditionnement ou encore la valorisation des tourteaux ont été abordés.
Cette semaine, la Commission débat avec les Etats membres des règles de production qui vont s'appliquer aux éleveurs et éleveuses biologiques d'Europe, en application du tout récent règlement biologique européen qui s'appliquera à partir de 2021. Alors que le risque d'industrialisation des élevages biologiques atteint désormais la France, il est urgent de réagir !
Suite à la sécheresse de 2018, vous êtes nombreux à être confrontés à un manque de fourrages bio cet hiver.
Des achats de fourrages non bio sont possibles, sous réserve de l'acceptation d'une dérogation. Votre demande de dérogation est à faire auprès de votre organisme certificateur, qui la transmettra ensuite à l'INAO.
Le réseau bio de Bourgogne,
BIO BOURGOGNE et les GAB départementaux,
les présidents, l'ensemble des élus
et des salariés vous présentent leurs meilleurs voeux.
- Toute personne exploitant plus de 3 ha en zone vulnérable est tenue de réaliser, chaque année, au moins une analyse de sol sur un îlot cultural pour une des trois principales cultures exploitées en zone vulnérable. L'analyse porte sur le reliquat sortie hiver (cultures annuelles) ou le taux de matière organique (cultures pérennes).
- Si plus de 100 ha sont exploités en céréales à paille en zone vulnérable, une deuxième analyse devra être réalisée.
Contenu réservé aux adhérents, retrouvez l'article complet dans les Nouvelles de la Bio.
Pour rappel, les fertilisants utilisables en agriculture biologique (UAB) sont inscrits dans l'annexe 1 du RCE 889/2008. Les matières organiques issues d'élevages conventionnels sont autorisées, sauf si l'élevage est considéré comme "industriel". Or, depuis plus de 10 ans, ce critère n'est pas appliqué, faute de définition claire du terme "industriel".
Un groupe de travail spécifique, auquel la FNAB a participé, s'est réuni à l'INAO pour donner une définition opérationnelle du terme "industriel". Cela permettra l'application progressive de nouvelles règles concernant l'usage de certains effluents d'élevage.
BIO BOURGOGNE vous propose un petit rappel des principales mesures dévoilées à l'heure actuelle :
Ces bourses permettent de rassembler les annonces (fourrages, paille, fumier, grains, légumes, matériel...) et de transmettre l'information à tous les agriculteurs de Bourgogne mais aussi des autres régions françaises. Cela vous offre la possibilité d'écouler vos excédents mais aussi d'exprimer vos besoins ou d'organiser un achat groupé.
Pour retrouver l'ensemble des bourses aux annonces, RDV sur la page dédiée de notre site Internet.
Chaque année la FNAB réalise une enquête sur la récolte du miel bio et les prix pratiqués. Vous êtes apiculteur bio ? N'hésitez pas à y participer : accès à l'enquête en ligne.
Cette année, l'enquête intègre des éléments pour favoriser les échanges directs entre les apiculteurs biologiques sur les intrants de vos exploitations (cire, reines, essaims, pollens).
Il s'agit d'un numéro spécial cire, consultable sur ici. N'hésitez pas à vous abonner pour recevoir directement les prochains numéros dans votre boite mail.
Le 6ème programme régional d'actions "Nitrates" entre en vigueur cet automne.
Il s'agit principalement d'une harmonisation des programmes Bourgogne et Franche-Comté. Cependant, un certain nombre de modifications sont susceptibles de vous impacter.
Protégez vos cultures à moindre coût grâce aux substances de base
L'Institut Technique de l'Agriculture Biologique (ITAB) met gratuitement à votre disposition des fiches qui vous permettront d'utiliser au mieux les substances de base, via le tout nouveau site Substances. Mais les substances de base, qu'est-ce que c'est ?
Ce sont des substances pouvant être utilisées à des fins phytopharmaceutiques en agriculture alors que cela n'est pas leur vocation première. Par exemple, le sel, le sucre, le vinaigre, la bière… Les substances de base permettent donc de se prémunir contre certaines maladies ou certains nuisibles à moindre coût.
Comme chaque semestre, BIO BOURGOGNE vous propose de répondre à son enquête en ligne sur :
- le prix de la paille
- le prix des fourrages
L'objectif est d'établir une « mercuriale » qui pourra vous aider à définir ou évaluer des prix.
Cette enquête ne vous prendra que quelques minutes et vous permettra de recevoir les résultats détaillés.
Merci d'avance pour votre participation !
La FNAB publie une brochure destinée aux porteurs de projet, producteurs et productrices intéressés par l'élevage de porcs bio.
État des lieux de la filière et de ses dynamiques, débouchés, cahier des charges, repères techniques et financiers, témoignages d'éleveurs et d'éleveuses dans différents systèmes.
Vous y trouverez de nombreux éléments pour réfléchir et construire votre projet.
Un collectif d'acteurs (FNAB, ITAB, Zone Verte...) a vivement réagi au courrier diffusé par VIVEA et visant à restreindre les possibilités de mise en place de formations à la phytothérapie à destination des éleveurs.
Ces acteurs rappellent la nécessité d'une approche globale intégrant les plantes en santé animale si l'on veut réduire le recours aux médicaments de synthèse et notamment limiter l'antibio-résistance !
Vous trouverez le courrier adressé à VIVEA ici.
Deux nouveaux documents viennent de paraître dans le cadre du projet BIOREFERENCES :
- les résultats 2016 en caprins lait
- le guide : "Convertir son troupeau caprin en AB : à quelles conditions ?.
N'hésitez pas à les télécharger et à les diffuser autour de vous !
Le programme des événements bourguignons organisés dans le cadre du Printemps Bio a été actualisé.
Retrouvez ici les animations à destination du grand public, des agriculteurs, des consommateurs, des plus jeunes… : marchés et fêtes bio, portes ouvertes de fermes bio, projections-débats, tours de plaine et visites techniques, création d'une AMAP, …
Venez nombreux partager ces moments d'échanges et de convivialité avec les acteurs de la bio en Bourgogne !
Le programme est également consultable sur le site La Bio des 4 Saisons.
BIO BOURGOGNE vous propose de regrouper les commandes pour le GUIDE TECHNIQUE APICULTURE BIOLOGIQUE édité par la FNAB.
Pour consulter le sommaire et un extrait : ici.
Tarif unitaire des guides par l'intermédiaire du réseau bio :
14 € TTC frais de port inclus ;
12 € TTC frais de port inclus pour les commandes entre 10 exemplaires et 30 exemplaires
10 € TTC pour toute commande supérieure à 30 exemplaires.
Les guides seront à récupérer dans l'un de nos bureaux (Auxerre, Bretenière, Beaune, Cluny ou Nevers).
Ouverture des pré-commandes jusqu'au 16 mai 2018 : contacter Aurélie BILLON au 06 80 43 16 97 ou aurelie(.)billon(at)biobourgogne(.)org.
Le guide complet sera mis en ligne prochainement sur le site produire-bio.org et téléchargeable gratuitement.
Lundi 26 mars, un séminaire de présentation des résultats 2016 du suivi de 70 fermes s'est tenu à Lempdes dans le cadre du projet BioRéférences , qui vise à produire et valoriser des références en agriculture biologique pour les systèmes d'élevage ruminants du Massif Central. |
Ce projet piloté par le Pôle AB Massif Central a été financé dans le cadre de la Convention Massif / Massif Central.
22 partenaires dont BIO BOURGOGNE participent à ce projet.
La présentation des références 2016, confirme les résultats technico-économiques 2015 en bio : en moyenne de bons revenus disponibles, une bonne efficience, une maîtrise des charges opérationnelles, une bonne valorisation de l'herbe produite dans le Massif Central. Ces systèmes autonomes et économes cachent une grande variabilité dans les résultats par filière et au sein des filières.
5/04/18
Annonce d'un soutien public de 1,1 milliard d'euros sur 5 ans pour la conversion en agriculture biologique :
Retrouvez ici le communiqué de presse de la FNAB.
A la veille de l'ouverture du Salon International de l'Agriculture, le bio apparaît plus que jamais comme un secteur d'avenir, prêt à relever de nouveaux défis. Tous les signaux sont au vert : les professionnels sont en ordre de marche et les chiffres de la consommation sont très positifs. On dénombre 36 664 producteurs en agriculture biologique en France en 2017 et 73% des Français déclarent consommer un produit bio au moins une fois par mois (Baromètre Agence BIO/CSA 2018).
Le réseau bio de Bourgogne,
BIO BOURGOGNE et les GAB départementaux,
les présidents, l'ensemble des élus
et des salariés vous présentent leurs meilleurs voeux.
BIO BOURGOGNE à le plaisir de vous présenter le programme technique polyculture-élevage de ce début d'année.
N'hésitez pas à vous pré-inscrire aux actions (les places sont limitées) et à nous signaler les autres thèmes que vous souhaiteriez voir aborder.
Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
L'équipe polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE
La brochure complète est téléchargeable ici.
Cette édition présente et analyse les chiffres de l'agriculture biologique bourguignonne au 31 décembre 2016.
Retrouvez ici le communiqué de presse du Réseau Bio de Bourgogne Franche-Comté, du lundi 2 octobre 2017.
N'hésitez pas à vous pré-inscrire aux actions (les places sont limitées) et à nous signaler les autres thèmes que vous souhaiteriez voir aborder.
Nous restons à votre disposition pour tout renseignement complémentaire.
L'équipe polyculture-élevage de BIO BOURGOGNE
Retrouvez ici le programme de toutes les animations proposées en Bourgogne : à destination du grand public, des professionnels, des scolaires…
Fêtons la bio en Bourgogne !
Gérard Michaut, 57 ans, vient d'être élu à la présidence du conseil d'administration de l'Agence BIO, Groupement d'Intérêt Public dont la mission est d'œuvrer au développement et à la promotion de l'agriculture biologique française. Il succède à Didier Perréol et représente Coop de France, Organisation professionnelle unitaire de la coopération agricole.
Céréalier bio dans l'Yonne (89), il a été élu par les représentants des structures membres du Conseil d'Administration : les Pouvoirs publics (Ministères en charge de l'agriculture et de l'écologie) et les structures professionnelles (APCA, Coop de France, FNAB et Synabio).
Retrouvez ici le communiqué de presse détaillé de l'Agence Bio.
BIO BOURGOGNE tiendra son Assemblée Générale le jeudi 20 avril à Rouvray (21).
Moment privilégié de l'année pour échanger et débattre, la journée se déroulera en deux temps :
- Assemblée Générale statutaire le matin
- L'après-midi, présentation des chiffres de la bio et des activités 2016 de BIO BOURGOGNE
suivie d'une discussion, à partir d'une brève présentation de l'étude de l'ITAB, parue fin 2016, évaluant les externalités de l'agriculture biologique au regard de l'agriculture dite « conventionnelle »
Pourquoi et comment rémunérer les services environnementaux et sociaux apportés par les producteurs qui pratiquent le mode de production biologique ?
En réponse à la demande qui leur avait été faite début 2016, les structures professionnelles bio de Bourgogne Franche Comté (BIO BOURGOGNE et Interbio Franche Comté) ont remis en novembre à la Présidente de la nouvelle région un programme stratégique de développement pour la bio en BFC.
Ce programme pluri annuel, qui s'inscrit dans le plan national Ambition bio, et le Schéma Régional de Développement Economique, d'Innovation et d'Internationalisation (SRDEII), est le fruit d'un travail conjoint des structures de développement 100% bio et de ses partenaires. Il se veut transversal, exhaustif et en cohérence avec le contexte régional. Il intègre dans une démarche d'analyse et de prospective les éléments de réflexion et les retours d'expérience de terrain dont bénéficient de longue date les structures bio historiques (Consultez la synthèse du programme ici. L'intégralité du document est disponible sur demande : biobourgogne@biobourgogne.org)
Par ailleurs, c'est sur la base des orientations proposées dans ce plan que nos structures ont, depuis, engagé avec les représentants de la Chambre Régionale d'Agriculture, les discussions visant à mettre en convergence les analyses et les propositions des uns et des autres en vue d'un accord, demandé par les pouvoirs publics, sur les objectifs qui seront assignés à la déclinaison régionale du Programme Ambition bio.
La prise en compte croissante par la Chambre Régionale du développement de la bio dans ses missions consulaires jointe à la volonté des structures spécialisées bio de mettre leurs compétences et leur expérience au service d'un développement global et cohérent de l'agriculture biologique offrent donc l'opportunité d'initier une démarche collaborative dans le cadre d'un partenariat équilibré avec le réseau des Chambres. Sanctionné par un engagement clair de la Région, un accord sur les axes et orientations prioritaires ainsi que sur la gouvernance du Comité Régional Ambition bio (CRAMB), pourrait déboucher sur la mise en œuvre dès 2017 d'un Plan Bio Bourgogne Franche Comté à la hauteur des besoins en accompagnement que suscite l'accroissement rapide des surfaces et du nombre des producteurs bio, et des soutiens que réclame le développement des filières sur le territoire.
Devant la recrudescence de témoignages d'agriculteurs impactés par des dégâts de gros gibiers sur leurs fermes, BIO BOURGOGNE et les GAB souhaitent construire avec vous un état des lieux régional des dégâts, et connaitre le ressenti d'un maximum d'agriculteurs Bourguignons.
- Afin de savoir quelles actions mettre en place, et quel message transmettre aux Fédérations de Chasse dans l'optique de les rencontrer
- Pour faire reconnaitre les intérêts des bio
- Afin de proposer vos solutions pour améliorer la prise en charge des dégâts de gibier
Merci de bien vouloir participer à l'enquête en cliquant sur le lien :
http://app.evalandgo.com/s/?id=JTk1bSU5QWslOUElQUQ=&a=JTk1ayU5MW0lOUIlQjA=
(questionnaire à remplir si vous avez eu ou non des dégâts cette année)
Nous comptons sur votre participation :
déjà 55 réponses en Bourgogne !
L'élection présidentielle à venir est décisive pour l'avenir de notre pays et notamment pour notre agriculture. Tout le monde a conscience que des solutions systémiques doivent être promues pour sortir de la crise sans fin qui détruit les fermes et les productrices et producteurs dans les filières d'élévage en particulier, éloigne tous les jours un peu nos concitoyens des réalités agricoles.
La bio est plébiscitée et portée par des agricultrices/teurs (21 nouvelles fermes par jour converties en bio en 2016), des PME soucieuses d'innovation, des élu-e-s locaux, des parents d'élèves, et des consommatrices/teurs par millions. Il s'agit d'une aspiration sociétale profonde qui n'est pas une simple tendance de consommation. La bio a des impacts notamment sur l'économie, l'emploi, l'agriculture, l'alimentation, la santé, et l'environnement.
Alors qu'en pensent les candidat-e-s à l'élection présidentielle ?
Les paysann-e-s de la Fédération nationale d'agriculture biologique et leurs organisations économiques, les coopérateurs-trices bio de Coop de France, les entrepreneur-e-s, transformateurs et réseaux de magasins de proximité membres du Synabio vous invitent le 8 février à Paris de 14h à 17h30 à l'amphithéâtre de la halle Pajol afin d'entendre les positions des candidat-e-s et/ou de leurs représentant-e-s pour la mandature 2017-2022. Ils seront au rendez-vous.
A cette occasion, nous présenterons notre "Pacte pour une agriculture et une alimentation d'intérêt général" présenté aux élu-e-s locaux, nombreux sont ceux qui soutiennent la bio pour la transition agricole des territoires comme en témoigne le succès du séminaire organisé sur ce thème par la FNAB les 19 et 20 janvier avec 250 territoires présents.
Nous comptons sur votre présence et votre soutient. Bien cordialement,
Stéphanie Pageot, présidente de la FNAB
Le ministère de l'agriculture a publié un communiqué de presse annonçant une revalorisation des ATR 2015 concernant les aides à la bio et les MAEC et la prise en compte de certaines demandes pour les ATR 2016.
Cette édition présente et analyse les chiffres de l'agriculture biologique bourguignonne au 31 décembre 2015.
Le 8 décembre prochain la FNAB, la Plate-Forme pour le Commerce Equitable (PFCE) et le réseau InPACT co-organisent les Assises Nationales du Commerce Équitable en France. L'événement se tiendra à Paris. La journée réunira producteurs, coop, transformateurs et distributeurs.
A l'heure actuelle : une centaine d'inscrits, mais il reste encore des places !
Objectifs de la journée :
Inscriptions ICI avant 5 décembre !
Des vidéos de présentation à consulter sur internet !
Découvrez les événements organisés en Bourgogne : animations à destination des professionnels et du grand public : portes ouvertes, marchés bio, animations en milieu scolaires, … Venez nombreux !
Si vous êtes à l'initiative d'animations, n'hésitez pas à les enregistrer sur le site des 4 Saisons de la Bio : http://www.labiodes4saisons.eu
La première liste des produits autorisés en tant que biostimulants comprend une centaine de substances naturelles, dont le fameux purin d'ortie. (© Watier-Visuel)
En application de la loi d'avenir agricole, le ministère a publié le 30 avril un arrêté et un décret autorisant la fabrication, la commercialisation et l'usage d'une centaine de substances naturelles à usage de biostimulant, dont le fameux « purin d'ortie ».
Le ministère de l'agriculture a publié au Journal officiel du 30 avril 2016 deux textes concernant la procédure d'autorisation des substances naturelles à usage biostimulant, en application de la loi d'avenir agricole du 14 octobre 2014.
Besoin d'outils de communication ?
Nous vous rappelons que BIO BOURGOGNE est un relai régional de l'Agence Bio, qui propose de nombreux outils et supports pédagogiques sur l'Agriculture Biologique.
Vous pouvez consulter la liste et les visuels de ces outils en cliquant sur le lien ci-dessous :
Vous trouverez ici un tableau à compléter. Merci de nous le retourner au plus tard pour le 31 mai par mail, courrier ou fax. Nous vous garantissons l'anonymat et la confidentialité des données communiquées.
Le fonctionnement de cette mercuriale est le suivant :
- vous nous renvoyez la mercuriale complétée pour les fourrages que vous avez achetés ou vendus en 2016, 2015 et avant si vous le souhaitez ! (une fiche par année)
- les personnes ayant répondu à cette enquête recevront une synthèse comportant :
- les prix moyens, médians, minimum et maximum des fourrages et de la paille biologiques,
- à terme : l'évolution pluriannuelle des prix des fourrages biologiques.
Si le nombre de réponses est suffisant, une mercuriale pourra être réalisée chaque année, pour chaque département.
Comptant sur votre participation pour une plus grande représentativité !
Retrouvez la dès maintenant sur notre site internet.
N'hésitez pas à consulter cette rubrique pour connaître l'offre et la demande sur votre région et diffusez vos annonces.
Retrouvez le calendrier en ligne des différents marchés et évènements bio en Bourgogne, en cliquant sur le lien ci-dessous :
https://docs.google.com/spreadsheets/d/1W9pk2EQgZY5cjPy2YFmeNpBkazGvUW4KdTWfvIuY1XM/edit?usp=sharing
Si vous participez à d'autres évènements, faites-le nous savoir !
Pour répondre plus efficacement aux demandes des responsables de la restauration collective qui sont en recherche de produits bio et réactualiser nos listings de producteurs fournisseurs de la restauration collective, nous avons besoin de vous connaitre.
Les informations collectées serviront également à établir un état des lieux de la vente en restauration collective et à amorcer une réflexion quant aux développements possibles de ce débouché.
L'enquête s'adresse à tous(tes) les agriculteurs(trices), qu'ils(elles) vendent ou non leurs produits à la restauration collective.
Vous souhaitez participer ? Rien de plus simple.
Il vous suffit de remplir en quelques minutes le questionnaire en ligne dédié.
Accéder au questionnaire |
Une enquête par entretien est menée en parallèle afin d'affiner les résultats et de mieux évaluer vos attentes. Si vous êtes intéressé(e), n'hésitez pas à nous contacter.
Merci pour votre participation !
- Plan Prévisionnel de Fumure
- Cahier d'Enregistrement des pratiques
- Description du cheptel
- Bilan azoté post récolte
Adhérents GAB |
Non adhérents |
|
RDV au bureau |
200 € |
400 € |
RDV sur votre ferme |
300 € |
600 € |
Pour acquérir cet outil, poser vos questions ou prendre RDV, un seul contact :
L'objectif est, à travers des enregistrements de pratiques et des analyses coprologiques régulières, de faire un état des lieux et de travailler en groupe sur les solutions à mettre en place pour gérer les parasites.
Ce groupe est ouvert à tous, n'hésitez pas à le rejoindre pour la campagne 2016, le suivi commence 3 semaines après les mises bas.
Caractéristiques : Sachets fruits et légumes kraft brun
Impression : recto en 3 couleurs : logo « Manger Bio et Local c'est l'Idéal »
(rose et jaune) + logos Eurofeuille / AB (vert) + site www.bioetlocal.org
Verso : mentions « Résistant à l'humidité » et « Fabriqué en France »
Fabriqués dans les Alpes-de-Haute-Provence
1 taille : 2 kg : 20 (largeur) x 6,5 (soufflet) x 31 (hauteur) cm - Épaisseur 45g/m²
Conditionnement : emballés sous film par 1 000 sacs.
Les tarifs de la commande groupée sont estimés à 14,04 € HT soit 16,85 € TTC les 1 000 sachets. Frais de livraison suivant les points et quantité.
Ils proposent aussi des sacs cabas en jute.
Caractéristiques des sacs
Dimensions : 40 cm (longueur x 15 cm (soufflet) x 30 cm (hauteur)
Cabas en toile de jute et coton, doublé plastique à l'intérieur et 2 anses courtes
Marquage 2 couleurs « bio et local, c'est l'idéal » sur une face
Vente par lot de 10 cabas
- Chaque année, une analyse de sol sur un îlot cultural au moins pour une des trois principales cultures exploitées en zone vulnérable. L'analyse porte sur le Reliquat Azoté Sortie Hiver (grandes cultures) ou le taux de matière organique (vignes et cultures pérennes).
- Cette obligation ne s'applique pas aux exploitants n'ayant que des prairies de plus de 6 mois en zone vulnérable.
Nous avons le plaisir de vous informer du choix, parmi plusieurs candidat(e)s, de notre nouveau directeur, Monsieur Laurent BARLE. Salarié du SEDARB depuis 15 ans, il occupait jusqu'à présent le poste de coordinateur du pôle élevage de notre service.
Laurent BARLE a été nommé à la direction le vendredi 13 novembre. Vous pouvez le contacter par téléphone au 03 86 72 92 20.
Le cuisinier formateur de la FNAB Pascal VEAULIN a partagé son expérience avec les 9 stagiaires et leur a montré comment concocté de savoureux plats, équilibrés et inventifs à base de produits bio. Un repas 100% bio et végétarien a ainsi été préparé par les participants.
Retrouvez ici l'article de l'Yonne Républicaine sur cette formation.
L'accord bilatéral avec l'Italie vient d'être signé. Les dérogations négociées pour l'envoi de bovins et ovins issus de la zone réglementée sont :
- Animaux de plus de 90 jours : vaccinés avec respect d'un délai de 10 jours après la deuxième injection ;
- Animaux de moins de 90 jours : nés de mères vaccinées ;
- Sous-réserve pour les animaux de moins de 90 jours : PCR négative si provenance d'une zone reconnue saisonnièrement indemne (PCR 14 jours après le début de la période d'inactivité vectorielle).
Dans un communiqué de presse du 15 octobre dernier, le Ministre de l'Agriculture a annoncé la fusion des zones réglementées ainsi que la négociation avec l'Espagne et l'Italie qui autoriserait la sortie des animaux vaccinés 10 jours après leur rappel.
Ce communiqué ne précise pas encore la levée des périmètres interdits, ni les conditions de circulation des bovins en France.
Suite à cette annonce du ministre de fusionner les zones réglementées, le préfet de Saône-et-Loire a levé le périmètre interdit de ce département. Pour en savoir plus.
Les levées de périmètre d'interdiction devraient suivre dans les autres départements concernés.
Maladie virale non contagieuse, la FCO est transmise d'un animal infecté à un autre par piqûre de moucherons du genre Culicoïdes. Elle peut toucher tous les ruminants, domestiques et sauvages. Maladie strictement animale, la FCO n'affecte pas l'Homme et n'a aucune incidence sur la qualité des denrées. Provoquant des retards de croissance chez les animaux malades, la mort de certains animaux et des avortements chez les femelles infectées, cette pathologie engendre des pertes économiques pour les éleveurs. Les mesures de lutte, désinsectisation et vaccination, représentent également un coût élevé et sont controversées par de nombreux éleveurs en bio. De plus, sur les élevages où les animaux sont destinés à la vente en vif et à l'export, ceux-ci se retrouvent bloqués, entraînant des surcoûts importants en cette année de déficit fourrager.
Quels projets ?
Les actions prévues devront répondre aux enjeux économiques, environnementaux et sociaux du territoire où sont situées les exploitations concernées.
Elles devront permettre d'améliorer ou de consolider les pratiques agricoles. L'évolution des systèmes de production envisagée devra contribuer à améliorer la compétitivité des exploitations agricoles tout en utilisant et préservant les écosystèmes sur lesquels s'appuie l'activité agricole.
Qui peut candidater ?
Tout collectif doté d'une personnalité morale, dans laquelle les agriculteurs impliqués dans le projet détiennent ensemble la majorité des voix au sein des instances de décision, peut prétendre à la reconnaissance de son projet.
La démarche doit venir des agriculteurs eux-mêmes en associant plusieurs exploitations sur un territoire cohérent.
Ce collectif peut réaliser lui-même l'animation de son projet ou conventionner l'animation auprès d'une structure compétente en matière de développement agricole et rural.
Comment candidater ?
Pour en savoir plus et télécharger le dossier de candidature, rendez-vous sur le site Internet de la DRAAF : http://draaf.bourgogne.agriculture.gouv.fr/GIEE.
L'Observatoire de l'Agriculture Biologique en Bourgogne (ORAB) vient de paraître. Il a été établi à partir des chiffres de la fin de l'année 2013.
La Bourgogne maintient sa 9ème place au rang national et malgré un contexte difficile, a augmenté sa surface cultivée en bio de 2%.
Retrouvez le détail des chiffres par départements et par filières en téléchargeant la brochure complète ici.
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